Littérature : Ouvrages généraux |
© Éditions Grasset, 2013
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Récit dans lequel Samuel Brussell - le narrateur - évoque sa redécouverte de la Cité des Doges au cours d'un séjour de plusieurs mois. De discussions en discussions à bâtons rompus, Samuel Brussell fait revivre, en compagnie d'un groupe de connaissances, de relations, d'amis, d'innombrables artistes - qu'ils soient peintres, musiciens, poètes, écrivains, dramaturges - actuels et/ou du passé, et, cela sous nos yeux. Tel un balancier (le métronome) tout se petit monde de se confonds pour construire qu'une seule entité, et, prendre ainsi vie. Au cours des papotages, des pérégrinations du narrateur, on croise diverses "personnalités locales" comme par exemple la Princesse Murat. Ces derniers forment un petit groupe aussi pittoresque les uns que les autres donnant vie à une Venise culturelle, et, "bouillonnante", et, n'hésitant pas à refaire le monde autour d'un verre. Un petit ouvrage sympathique, vivant ainsi qu'agréable à lire.
Marianne
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© Éditions La Tour Verte, 2019. (L'autre Venise)
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Venise à livre ouvert : Histoire de la librairie française
Le nouveau titre de Gabriella Zimmermann présente, sous forme d'une discussion à bâton rompu entre son auteur, et, les propriétaires (Dominique Pinchi, et, Ornella Caon) de l'illustrissime librairie française de Venise, de nombreuses anecdotes sur la vie intellectuelle, et, plus particulièrement littéraire, et, artistique de Venise. C'est l'occasion de rencontrer, puis, de faire connaissance avec un homme passionné à la fois par les livres, son boulot de libraire ainsi que par sa ville d'adoption : Venise. Cette passion, on la découvre tout au long de sa carrière au travers de ses rencontres, ses discussions autour de la littérature, l'art, Venise en compagnie d'intellectuels ou non, qu'ils soient de passage et/ou résident à Venise. Pour la petite histoire, la librairie française a accueilli à plusieurs reprises dans ses locaux François Mitterrand, alors président de la République Française lors de ses différents séjours dans la Cité des Doges. Un ouvrage qui se lit comme un roman, tout en mettant en avant le règne de la finance, de l'argent au détriment de la culture. D'après ce que j'ai pu comprendre, maintenir à flot la librairie pendant les 40 ans de son existence a été un combat de longue haleine, et, sa fermeture définitive en décembre 2016 a été une perte pour la ville et sa vie intellectuelle. A lire que l'on soit amoureux ou non des livres et de Venise. Pour info : Gabriella Zimmermann est la traductrice de Donna Leon. Marianne
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© Éditions Equateur, 2019 (Littérature)
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Je sors de ma lecture avec un sentiment mi-figue mi-raisin. Peut être que j'en attendais trop après avoir lu les critiques dithyrambiques sur le net, et/ou la presse. J. P. Kauffmann mène une quête laborieuse, et, minutieuse afin de se faire ouvrir les églises fermées et désacralisées. On sent qu'il connaît à la perfection Venise, qu'il livre à ses lecteurs avec moult détails. Tout au long de ma lecture, j'ai eu l'impression que J. P. Kauffmann menait une sorte de psychothérapie lui permettant ainsi d'extérioriser ses années d'enfermement au Liban, entre 1985, et, 1988. Mais, peut on se remettre un jour d'une telle épreuve ? Il y a de très belles descriptions ainsi que de nombreuses anecdotes sur les lieux, les églises rencontrées au fil des pas, des déambulations de l'auteur dans Venise. Lors de sa quête concernant les églises désacralisées, on sent que J P. Kauffman cherche à comprendre le pourquoi du comment ainsi que le but de ces fermetures définitives. Pour la petite anecdote, il a même retrouvé la trace d'une église - église de Santa Anna - qui a complètement disparu, et, dont l'unique mention se trouve dans le roman de Donna Leon intitulé Une question d'honneur. La description qu'il fait de l'intérieur de ladite église, après avoir passé la tête par la porte entrebâillée est terrible, et, surtout désespérée. Malgré un ton suffisant, prétentieux, et, hautain - selon mon ressenti -cet ouvrage est écrit dans un français maîtrisé à la perfection. Par moment, j'ai également l'impression que J. P. Kauffmann semblait prendre de haut ses lecteurs - par le biais de sa notoriété, et, son statut d'ancien otage, tout en jouant sur cet état de fait - en se faisant ouvrir des endroits, des lieux que le commun des mortels ne risque pas d'avoir accès. Cela m'a quelque peu gêné par moment, au cours de ma lecture, et, cela même si le but de cette "balade" dans Venise est originale ainsi que sortant des sentiers battus. Il est vrai que l'on se prend au jeu vu l'on cherche en compagnie de J. P. Kauffman la trace de ces églises fermées à tout jamais. Marianne
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© Éditions Gallimard, 2000 (Folio ; 3094)
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Michel Mohrt, écrivain, essayiste, historien et aquarelliste de son état, livre dans ce petit ouvrage sa propre vision de Venise qu’il a découverte par hasard. Au gré de ses séjours dans la Sérénissime, c’est l’aquarelliste qui prend le dessus sur l’écrivain afin d’offrir à ses lecteurs une approche artistique de la ville. En ce qui me concerne, je n’ai pas trop apprécié le style de l’auteur que je trouve quelque peu pompeux ainsi que répétitif. J’avoue préférer, et de loin, Venises de Paul Morand et L’Altana et la vie vénitienne d’Henri de Régnier. Marianne
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© Éditions Nicolas Chaudun, 2010 (Philéas Fogg)
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Petit ouvrage regroupant 5/6 articles publiés dans diverses revues, et, cela à des dates différentes. En ce qui me concerne, je préfère - et de loin - le précédent ouvrage de Paul Morand consacré à la Sérénissime c'est-à-dire Venises car j’ai eu un peu l’impression de relire le même livre. Malgré ce petit bémol, je reconnais que j’ai pris plaisir à retrouver la plume et surtout l’érudition de Paul Morand, et, qu’il est à lire même si l’on apprend rien de nouveau sur les réflexions artistiques, historiques, littéraires, politiques, etc., que portait Paul Morand sur Venise.
Marianne
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© Éditions Calmann Levy, 2007
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Sans Brunetti : Essais (1972 – 2006)
Le présent ouvrage est un recueil de réflexions de l’auteur sur vie à Venise, ses rapports avec les vénitiens, l’administration, etc., le tout émaillées de quelques anecdotes amusantes … En ce qui me concerne, cet ouvrage ne m’a guère intéressé, et, ne présente aucuns intérêts car l’on n’apprend rien de neuf sur l’auteur car tout à déjà été dit, répété par la presse, la radio, et, autres médias. Même si certains passages, certaines historiettes prêtent à sourire, cet ouvrage est, pour moi, qu’un ramassis de blabla qu’il vaut mieux éviter de lire. Je préfère, de loin, la série de polars mettant en scène Brunetti. Marianne
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© Éditions J'ai lu, 2010 ( en images)
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Une description de Venise par un choix d’extraits de textes d’auteurs reconnus. Un grand classique émaillé de photos anciennes et de tableaux. L’auteur débute par une longue introduction qui, si elle n’est pas dénuée d’intérêt, commence par plusieurs maladresses grossières dont un raccourci entre la Pescheria, qui date de 1907, et le pont du Rialto n’est pas la moindre. En effet pour exemples : Attribuer la qualité de peintre à l’Arétin est surprenant et, que je sache, quelques pamphlets mal reçus suivis par le "sac de Rome" en 1527 ne sont pas étrangers à sa décision d’émigrer définitivement. Le pauvre pape, enfermé dans le Château Saint Ange, pour se soustraire aux troupes de Charles Quint avait d’autres chats à fouetter que de s’occuper de lui. De même le trajet de Padoue à Venise se faisait en empruntant le "Burchiello" que Charles de Brosses surnommait le "Petit fils du Bucentaure" : Le vrai Bucentaure n’a jamais été dévolu à une utilisation "civile" quand il ne servait pas au doge !!!! J@M
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© Éditions Anatolia, 2009 (Littérature étrangère)
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Viktoria Mironova est un écrivain russe ayant quitté son pays après la Perestroïska pour s’installer à Venise. Dans ce récit romancé dans lequel elle raconte son histoire, elle explique comment on peut vivre au jour le jour sans argent, tout en profitant de l’instant présent, d’un simple bonheur que peut procurer une rencontre dans la rue, de la solidarité entre amis, ou tout simplement avec la lecture d’un bouquin … … Les souvenirs de sa jeunesse en Union Sovietique ainsi que quelques mésaventures comiques se mêlent à ce récit. Le tout est écrit dans un style alerte, dynamique. L’optimiste naturel de l’auteur ressort au fil des pages. C’est facile, agréable à lire tout en reconnaissant avoir lu en diagonale le 2eme partie de ce bouquin.
Marianne
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© Éditions Climat, 2000. (Climats ; 62)
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Les Cendres de La Fenice : Choses vénitiennes
Le présent ouvrage est une apologie de la ville de Venise. A travers les œuvres de quelques écrivains (Chateaubriand, Stendhal, Balzac, Musset, Julien Gracq, Sollers, d’Annunzio), ayant séjourné à Venise, l’auteur explique pourquoi Venise fascine autant. Chaque chapitre tourne autour d’un écrivain (sauf le premier qui est à la fois consacré à Chateaubriand et Stendhal). L’auteur cite des extraits d’ouvrages tout en donnant son avis sur l’écrivain en question et l’œuvre citée… Emporté par son élan, et son admiration pour la ville, l’auteur ne peut s’empêcher de composer un éloge à la gloire de Venise !!!!!! Intéressant, et, très instructif. Donne envie de lire les livres sur Venise écrits par Chateaubriand, Stendhal, Balzac, Gracq, Sollers et d’Annunzio… … Marianne |
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© Éditions L’Archipel, 2007
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La Cité des anges déchus
Ce n’est pas un roman, mais, plutôt un récit qui se lit comme un roman policier. Pendant toute la durée de son séjour, (un séjour de neuf ans), l’auteur part à la rencontre de vénitiens et de la communauté américaine installée à Venise. Il mène auprès d’eux, une véritable enquête policière, en essayant de démêler les sous entendus, les non dits, les jalousies, etc. Au fils de ses pérégrinations, l’auteur essaye d’appréhender, de cerner au mieux, les différents personnages (qu’ils soient vénitiens ou américains, célèbres ou inconnus) vouant une passion sans borne à Venise. Il en ressort quelques anecdotes – connues et/ ou inconnues, désagréables ou non - sur des personnalités locales (tel que Archimède Seguso, important maître verrier ; Mario Stefani, poète de son état) et/ou des célébrités américaines ( comme par exemple Peggy Guggenhein ou le poète et écrivain Ezra Pound). L’auteur met tout le monde sur un pied d’égalité (que l’on soit américain ou vénitien) en décrivant les jalousies, magouilles et autres actes méprisables que peuvent susciter les convoitises, les ambitions de certains … … C’est écrit dans un style simple, agréable à lire, voire même captivant. En effet, le lecteur a envie de connaître le fin mot des « différentes petites enquêtes » menées par l’auteur !!!!! Marianne |
Pour ma part je dois dire que je n'ai pas du tout accroché !!! J'ai trouvé que ce livre qui au demeurant démarrait assez bien, finissait par être lassant ! Trop de longueurs beaucoup de choses inutiles et pas vraiment d'intrigues et de surprises... Bref... J'ai pas aimé !!! Nicole |
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© Éditions Zulma,1998 (Littérature)
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Dictionnaire amoureux et savant des couleurs de Venise
Un curieux livre est la présentation par Alain Buisine d'une autre Venise... Mais, comme dans tous ses livres, on ressent à la lecture de l'ouvrage, la sensibilité de l'auteur et l'attachement qu'il a pour la cité. C'est la Venise des couleurs liées à son histoire. L'imagination de l'auteur sur ces combinaisons couleurs/Venise est peut-être du au fait que c'est à Venise que les théories sur l'arc-en-ciel ont été étudiées ??? Cette Venise aux mille couleurs est enchanteresse, caressante, aimante, elle réveille nos sens. A lire avec délectation... Nicole |
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© Éditions du Rocher, 2007
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La collection "Le roman des lieux et destins magiques" présente une ville au travers d’anecdotes historiques ou non. Dans le présent ouvrage, c’est la ville de Venise qui en est le sujet principal. Que nous soyons néophyte ou non concernant Venise, nous n'apprenons rien, et, n'avons guère envie d’approfondir le sujet. En gros, c’est un ouvrage sans intérêt, ennuyeux au possible, le sujet é été traité superficiellement. C’est, également, écrit dans un style plat. Les informations sur Venise sont connues et archi connues. Je l’ai lu avec difficulté, en essayant de ne pas m’endormir dessus !!!!!!!!!!! Pour moi, l’auteur s’écoute écrire et/ou parler !!!!!!! A mon avis, il vaut mieux ne pas lire ce livre. Marianne |
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© Éditions Albin Michel, 1996.
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Un Voyage à travers les plus beaux textes de la littérature. Agnès Michaux
Il s’agit d’une anthologie regroupant les plus beaux écrits consacrés à la ville de Venise. Ils sont signés par les plus grands auteurs de la littérature française et internationale. Cette anthologie est divisée en 7 chapitres. Chaque chapitre regroupe des textes autour d’un thème particulier comme par exemple "La Fête à Venise", "Vivre à Venise", etc … … Il est bien évident, que l’auteur présente des extraits d’œuvres de ces auteurs : Balzac, Sand, Musset, Pétrarque, Dante, Morand, etc … … A lire, et surtout, à garder comme ouvrage de chevet… En effet, ce recueil est une véritable mine au trésor, car il recense de nombreux auteurs ayant éprouvé le besoin de coucher sur papier leur émerveillement, leur éblouissement devant la Cité des Doges !!!!! Marianne |
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© Éditions Gallimard, 1971
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Paul Morand L’auteur livre par écrit ses impressions sur la 1ere partie du 20ème siècle. Il apporte un témoignage sur un monde en mutation, tout en jetant un regard lucide sur ses contemporains, ainsi que sur une ville, Venise, qu’il découvre adolescent. Morand éprouvera une véritable fascination, voire même un profond amour pour Venise. Il lui restera fidèle jusqu’à son décès en 1976. A chaque séjour, Paul Morand jette un regard neuf sur Venise, et, c’est l’occasion pour lui, d’aborder la ville d’une manière différente. De nombreuses rencontres (célèbres ou non) ponctuent ses visites. C’est un récit tout en poésie, mais, surtout d’une très grande tristesse car l’auteur voit le monde qu’il connaissait basculer, petit à petit, vers la folie. C’est aussi écrit dans une langue pure, dans un style tout en finesse. Marianne |
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© Éditions Actes Sud, 2005
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Récit retraçant, au jour le jour, la transformation d’un jardin par Sir Frédéric Eden. Celui-ci est situé dans le quartier de la Giudecca, et, fut acheté, en 1884. Avec un flegme typiquement britannique, Sir Eden réussira à recréer un véritable petit paradis terrestre en plein cœur de Venise. Sir Frédéric Eden jette un regard naïf, étonné dans une ville qu’il découvre, au jour le jour, en côtoyant les vénitiens, et, en partageant avec eux les milles et un tracas de la vie quotidienne... Fasciné par ce jardin, devenu une légende au fil des années, des écrivains, (comme par exemple Henri de Regnier ou Jean Cocteau), ne cesseront jamais de vanter ses louanges, de chanter sa beauté dans leurs écrits. De magnifiques photos en noir et blanc ainsi que des dessins au crayon, également en noir et blanc, jalonnent ce superbe texte. Marianne |
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© Éditions du Rocher, 2005
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De nombreuses anedoctes littéraires, historiques, musicales, jalonnent cette superbe évocation de Venise. Ecrit à la fois dans un style cocasse, sérieux, l’auteur promène ses lecteurs dans une ville aux milles facettes !!!!! Des dessins, en noir et blanc, évoquent, tout en finesse, cette ballade. Marianne |
Cet ouvrage m'a aussi enchanté. Il est préfacé par Jean d'Ormesson et illustré par le talentueux Michel Mohrt. Vous allez être, à votre tour, passionné par ce petit ouvrage. Nicole |
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© Éditions Arléa, 1997 (Arléa poche ; 26)
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Petite ballade dans la Venise de 1939 à travers les yeux d’un “intellectuel” féru de littérature, de philosophie et de peinture... ... C’est une réflexion philosophique sur la beauté, l’art dans toute sa splendeur. L’auteur essaye, par sa culture, de décrire son “émerveillement” devant une ville qu’il “admire”. C’est, également, une apologie de l’Art dans tous les sens du terme. Marianne |
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© Éditions Fayard, 2004
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L'Autre Venise
Un ouvrage unique et exceptionnel. Matvejevitch Predaag né en Bosnie-Herzégovine, nous fait découvrir la "Venise" que nous ne connaissons pas ou peut-être que nous voulons ignorer ! Des herbes folles, en passant par la rouille ou les sculptures murales, Venise nous apparaît ici décrite par son auteur comme une cité nouvelle… Il faut être vraiment un initié de La Sérénissime ou un passionné pour accepter ce qui est dit ici, avec un immense talent… Un livre poétique et d’une écriture pure qui se lit en quelques heures, car quand on le commence on ne peut plus s’arrêter ! L’Autre Venise a été couronné en Italie, par le très prestigieux Prix Strega européen en 2003. (il a été édité en langue Croate, Italienne, Espagnole et Allemande en 2002) Je vous le recommande et il doit faire partie de votre bibliothèque vénitienne. Nicole |
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© Éditions Plon, 2004
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Dictionnaire amoureux de Venise.
Comme son titre le dit, il s'agit bien d'un dictionnaire par sa présentation. Mais ce n'est pas n'importe quel dictionnaire !!! Bien que les termes soient expliqués de façon très claire, il porte une marque très particulière, celle de la passion de Sollers ! Oui notre auteur est un passionné et qui nous le montre à chaque phrase qu'il écrit ! Il ne faut surtout pas lire ce livre d'un seul trait comme on lirait un roman, mais, le lire avec amour et lentement. En désordre peu importe et vous verrez votre passion se mêler à la sienne... C'est un régal ! Un moment unique ! Un bel ouvrage ! Un livre à garder précieusement dans sa bibliothèque vénitienne. Merci Monsieur Sollers ! Nicole |
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© Éditions Sortilèges- Belles Lettres, 1996
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Cet ouvrage est une compilation de textes d’écrivains qui ont parcouru la Sérénissime, l’ont aimé et ont voulu témoigner ainsi de la beauté du monde. Montesquieu, Goethe, Lord Byron, Paul Morand, Ernest Hemingway, George Sand, Alfred de Musset, Henry James, Marcel Proust, Blaise Cendrars et bien d’autres se retrouvent dans ces histoires de Venise. Tous nous présentent la ville avec leurs mots spécifiques, parfois si différents, mais exprimant les mêmes sentiments que Venise leur fait partager. Ce livre nous donne envie de mieux connaître chacun d’entre eux et pour certains de lire leurs textes dans leur intégralité. Les illustrations sont des gravures en noir et blanc. Nous trouvons également à la fin de l’ouvrage une petite notice biographique de chaque auteur mentionné. Ne se lit pas bien sur comme un roman, mais est très plaisant et nous permet de sélectionner « nos auteurs vénitiens »… Car entre la noirceur d’un Thomas Mann, la gaieté d’un Goldoni ou l’angoisse d’un Goethe, nous faisons librement notre choix … Nicole |
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© Éditions Hermé, 1994
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Guide littéraire de Venise
Venise racontée par des extraits de textes d’écrivains qui ont séjourné dans la cité ou qui y ont vécu. Des écrivains aussi variés que Théophile Gautier, Madame de Staël, George Sand ou encore Marcel Proust Cette évocation sur trois siècles XVIII°, XIX° et XX°, nous présente la Venise baroque, romantique et variée. On se promène sur les canaux, on longe les calli, on admire les couchers de soleil…. De très beaux textes, compilés par Christine Ausseur et rassemblés dans cet ouvrage nous donnant une image complète de Venise à travers la vision de leurs auteurs. Nicole. |
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© Éditions Mare Nostrum, 1993 |
Àlex Susanna, professeur de Littérature, mais aussi poète, nous donne dans cet ouvrage les souvenirs de son passage à Venise. Ses rencontres, ses idées, sa vision toute particulière de la Sérénissime rendent ce livre très poignant de vérité. L’art du poète est bien présent à chaque page. Présenté sous forme de journal au jour le jour, ce sont de très beaux textes, que ce poète nous divulgue. "Carnet vénitien" a obtenu, à Barcelone, le prix Josep Pla en 1988. Un moment de pur délice. Nicole |
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