Yves Jego

[Marianne]

Je viens de terminer le Ca'Dario, et, cela m'a beaucoup interessé.
C'est agréable à lire, écrit dans un style vivant, et, cela fourmille d'anecdotes ésotériques, païennes, historiques ... ...

Mais ce n'est que mon simple avis.

[Olia et Klod]

Je viens de terminer le Ca'Dario, et, cela m'a beaucoup interessé.
C'est agréable à lire, écrit dans un style vivant, et, cela fourmille d'anecdotes ésotériques, païennes, historiques ... ...

Mais ce n'est que mon simple avis.

Je confirme que ce soit bien écrit et plaisant à lire, mais...
... de mon côté j'ai trouvé que cela fait un peu trop "livre à sensation", l'auteur pose des hypothèses, mais n'apporte à aucun moment le moindre début de tentative de réponse. "pour faire garniture", il va même chercher l'aide de D'Annunzio pour parler d'évènement qui sont sans aucun lien avec la Ca' Dario.
Enfin, il insiste lourdement sur les Templier et la Kabbale, comme s'ils étaient liés, et expliqueraient au simple fait de les évoquer le mystère du palais...

Bref, les touristes seront ravis de découvrir un "sevret" de Venise, et quand on connaît un minimum l'histoire de la Ca' Dario, on reste un peu plus circonspect.

[Olia et Klod]

Un livre qui se lit vite et bien. C'est agréablement écrit, un peu à la manière de communiqués de presse successifs relatifs à une affaire...

L'intrigue est bien ficelée, LES intrigues, plutôt, car plusieurs affaires se chevauchent. La description (réelle ou romancée) des personnages (historiques) est plus précise et juste que celle des différents lieux, avec parfois quelques errements.

A déplorer quelques coquilles d'imprimerie qui sont parfois gênantes.

A déplorer également que Monsieur le Ministre que l'on présente comme un fin connaisseur de Venise en vienne à confondre lamentablement San Giorgio Majore et Torcello (ce que l'on ne comprendra en réalité que vers la fin de l'histoire).

[Marianne]

Un livre qui se lit vite et bien. C'est agréablement écrit, un peu à la manière de communiqués de presse successifs relatifs à une affaire...

L'intrigue est bien ficelée, LES intrigues, plutôt, car plusieurs affaires se chevauchent. La description (réelle ou romancée) des personnages (historiques) est plus précise et juste que celle des différents lieux, avec parfois quelques errements.

A déplorer quelques coquilles d'imprimerie qui sont parfois gênantes.

A déplorer également que Monsieur le Ministre que l'on présente comme un fin connaisseur de Venise en vienne à confondre lamentablement San Giorgio Majore et Torcello (ce que l'on ne comprendra en réalité que vers la fin de l'histoire).

De mon côté, je confirme que ce livre est plaisant, agréable à lire et qu'il se lit rapidement, mais, il y a un petit bémol au niveau des intrigues que je trouve lisse, légère, linéaire, prévisible.

En ce qui me concerne, j'ai une nettre préférence pour La Conspiration Bosch du même auteur.

Je reconnais malgré tout, que c'est un roman d'été sympa. à lire, et, j'ai eu envie d'aller jusqu'au bout de ma lecture afin d'en connaître la fin.

[J@M]

J'agrée les remarques de mes prédécesseurs sauf à avoir préféré 1807 à La Conspiration Bosch.