Le Forum de La Sérénissime

Lexa, Olivier.- Venise, l'éveil du baroque : itinéraire musical de Monteverdi à Vivaldi.- Paris : Kareline, 2011.

Résumé :
Au début du XVIIe siècle, Venise a inventé la musique baroque, avec l'avènement de la cantate et de la sonate, mais surtout en ouvrant l'opéra à un large public. Cet ouvrage explique pourquoi et comment cette révolution de la musique occidentale est partie de la Cité des Doges, à travers trois itinéraires parcourant les lieux de ces métamorphoses, entre profane et sacré.

Mon avis :
Olivier Lexa propose une découverte de la musique baroque au travers trois itinéraires : un consacré au sacré, un autre entre profane et sacré tandis que le dernier traite du profane.

A destination du grand public, ces derniers répertorient les hauts lieux - théâtres, opéras, scuola, églises, basiliques - existant ou non, où ont officié les plus grands compositeurs, qu'ils soient vénitiens ou non, qui ont fait la renommée de Venise.

Ce sont ces mêmes musiciens qui ont ouvert l'opéra au grand public, permettant ainsi aux plus humbles d'accéder à la culture, et notamment à la musique.
Des photos de l'auteur, en noir et blanc, accompagnent ces ballades. Une bibliographie succincte se trouve en fin d'ouvrage.

Une manière originale d'appréhender un futur voyage dans la Cité des Doges, donnant lieu ainsi à un séjour sortant des sentiers battus sur les traces de Vivaldi, Galluppi, ni, etc. entre autres, tout en fredonnant quelques notes d'une de leurs œuvres.

Pour la petite histoire, Olivier Lexa est historien et musicien de formation. Il a été directeur général du Palazzetto Bru Zane (Centre de musique romantique française). Il est également le co-fondateur du Venetian Centre Baroque Music dont il est le directeur artistique. Il vit et travaille à Venise.

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Lexa, Olivier.- La musique à Venise : de Monteverdi à Vivaldi.- Arles : Actes Sud, 2015.

Résumé :
Il n'existait pas de grand livre d'art consacré à la musique vénitienne : le voici. Il nous montre que, dans la Cité des Doges, les sons et les couleurs de la lagune sont partout : à l'opéra, chez Monteverdi, Cavalli et jusque dans les célèbres concertos de Vivaldi.

Cet ouvrage richement illustré permet au lecteur de découvrir comment Venise a inventé l'opéra public - véritable étendard de l'exubérance baroque mêlant poésie, musique, peinture, architecture et danse. A cette époque, les arts ne connaissaient pas de frontières : le chant se peignait et l'on peignait pour la scène ; au centre de ses fameuses Noces de Cana, Véronèse se représentait lui-même, accompagné de Tintoret et de Titien, tous trois non pas en train de peindre mais de jouer de la musique...

Parallèlement à l'émergence, dans ses ospedali, de la première grande école instrumentale d'Occident, en exportant son modèle de spectacle lyrique dans l'Europe entière, la Sérénissime a accouché de rien de moins que la musique moderne. Nulle autre cité ne pouvait engendrer de si profondes mutations artistiques, dont les traces sont aujourd'hui encore visibles partout.

Mon avis :
Une reprise de certains passage des textes vus dans l'ouvrage intitulé Venise, l'éveil du baroque : itinéraire musical de Monteverdi à Vivaldi publié en 2011, toujours par Olivier Lexa. Comme le titre cité précédemment, celui-ci est à destination du très grand public désirant découvrir la musique baroque d'une manière simple, ludique.

Dans le cas qui nous intéresse, l'argumentation de l'auteur donne l'impression qu'il n'y a rien de nouveau (si on a lu comme les deux bouquins, et, non si l'on a que ce titre là entre les mains, bien sûr) dans le développement de la musique baroque à Venise. Sauf peut être qu'Olivier Lexa insiste plus sur le fait que la peinture et la musique sont étroitement, voire même profondément liées , et, que l'une ne va pas sans l'autre.

On remarque également de nombreuses reproductions en couleurs de tableaux signés du Tintoret, Véronèse, Longhi, etc ainsi que de magnifiques photographies en couleur. Ces dernières sont toutes signées par Laure Jacquemin.

Mon avis :
Une reprise de certains passage des textes vus dans l'ouvrage intitulé Venise, l'éveil du baroque : itinéraire musical de Monteverdi à Vivaldi publié en 2011, toujours par Olivier Lexa. Comme le titre cité précédemment, celui-ci est à destination du très grand public désirant découvrir la musique baroque d'une manière simple, ludique.

Dans le cas qui nous intéresse, l'argumentation de l'auteur donne l'impression qu'il n'y a rien de nouveau (si on a lu comme les deux bouquins, et, non si l'on a que ce titre là entre les mains, bien sûr) dans le développement de la musique baroque à Venise. Sauf peut être qu'Olivier Lexa insiste plus sur le fait que la peinture et la musique sont étroitement, voire même profondément liées , et, que l'une ne va pas sans l'autre.

On remarque également de nombreuses reproductions en couleurs de tableaux signés du Tintoret, Véronèse, Longhi, etc ainsi que de magnifiques photographies en couleur. Ces dernières sont toutes signées par Laure Jacquemin.