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Bandes Dessinées

Retour répertoires bandes dessinées

 

 

©  Éditions Delcourt, 2012

 

 

 

Saria, tome 1 : Les trois clés

Jean Dufaux

 

Jean Dufaux, allié au dessinateur d’origine italienne Paolo Serpieri débute avec le présent tome une série en trois volume intitulée Saria. Celle-ci et un mélange historico-fantastique et de steampunk.

L’intrigue se déroule à une époque non définie – dans une Venise sombre, angoissante et oppressante mais surtout tenue d’une main de maître par le pouvoir en place c’est-à-dire le doge qui devient sous la plume de Jean Dufaux et le stylet de Paolo Serpieri un véritable tyran de chair et de pièces métalliques sur certaine partie de son corps et dans laquelle on retrouve des références historiques comme par exemple Mussolini et ses chemises noires, qui deviennent dans le cas présent les gardes du corps du doges.

La lutte entre le bien et le mal se dégage dans cet univers bâtit de bric et de broc à l’aide de ferrailles (qui peut décontenancer certains) et dans laquelle Venise semble méconnaissable car détruite partiellement à certains endroits.

Outre les références à Mussolini et ses sbires, il y a également des références religieuses à travers les anges (destructeurs ou non, l’enfer et ses monstres, tous issus du lieu en question, et, dans lequel l’imagination est reine pour les représenter.

L’histoire en elle-même est toute simple, voire banale. Les illustrations, quant à elles, sont sublimes, et, réalistes à souhait. Seul petit bémol, les auteurs auraient pu se passer des scènes de nus et érotiques qui n’étaient vraiment pas nécessaires ni utiles pour la compréhension de l’histoire. A part ce tout petit point, une excellente BD qui laisse présager un deuxième et troisième tome dans la même veine.

Pour information, le steampunk est un mouvement culturel mêlant l’esthétique et la technologie du XIXe siècle à des éléments de science-fiction. Au cours des œuvres littéraires, les faits se déroulent dans une réalité alternative où le progrès technologique se base, non pas sur l’énergie électrique, mais, sur les machines à vapeur.

Marianne

 

Retour répertoires bandes dessinées

 

©  Éditions Delcourt, 2012

 

 

Saria, tome 2 : la porte de l'ange

Jean Dufaux
 
On  retrouve la jeune Saria rencontrée dans le précédent tome  intitulé
Les trois clés toujours sous la plume de Jean Dufaux pour le scénario, mais, avec le stylet d'un autre dessinateur, également d'origine italienne, Riccardo Federici, qui remplace Paolo Serpieri, malade.
 
L'univers fantastique et surréaliste crée et imaginé par Jean Dufaux et Paolo Serpieri est toujours présent et bien vivace grâce à l'l'alternance d'illustrations en noir et blanc et en couleurs.  Il prends ainsi une mesure à la fois démesuré et "démentiel"  grâce à son atmosphère oppressante, angoissante. Un frisson parcourt l'échine lorsque l'on se plonge dans cette course afin de contrer le mal.
 
La perspective des scènes intérieures et extérieures est irréelle, et, surtout grandiose. On se croirait  vraiment dans les lieux où se déroulent l'action tant ceux-ci sont réalistes, "vrai" et surtout tellement bien dessinées.
 

Marianne

 

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©  Éditions Delcourt, 2020

 

 

 

Saria, tome 3 : la fin d'un règne

Jean Dufaux


Jean Dufaux, allié au talent hors pairs de Riccardo Federici, illustrateur de son état, conclut en beauté sa trilogie contant les aventures et autres mésaventures de la jeune Saria, qui grâce à son intelligence, son audace et son dévouement donne une lueur d'espoir au peuple vénitien.
 
Tout comme dans les deux précédents volumes, un certain érotisme se dégage. Il y a également des scènes de violence, mais, c'est l'intrigue qui le veut ainsi. Il est vrai que on l'occultait, le récit n'aurait plus aucun intérêt.
 
En bref, il s'agit d'une saga à lire de toute urgence par son excellence.
 

Marianne

 

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©  Éditions Delcourt, 2019

 

 

Mausart à Venise

Thierry Maur

Dans le présent volume, on retrouve la petite souris sortie tout droit de l'imagination du scénariste Thierry Maur et de son acolyte illustrateur Grademir Smadja, prêtant ainsi ses traits au "génial" compositeur autrichien Wolgang Amadeus Mozart (1756-1791), figure majeur de l'histoire de la musique européenne puisqu'il a porté à son apogée l'école classique viennoise.

Pour le moment, seul deux tomes ont été publiés par les éditions Delcourt. L'un évoque les débuts de musiciens en tant qu'enfant prodige tandis que l'autre est centré sur sa tournée italienne. Dans l les deux volumes, la biographie du compositeur a été romancée afin d'être à la portée du jeune public. Les divers personnages – tous des animaux ayant formes humaines – sont précis de réalisme. Les émotions ressenties par tout ce petit monde sont retranscrites à la perfection. On croirait les avoir juste en face de nous. Idem pour les illustrations.

Les lieux, les palais et autres habitations de luxe ou non, fourmillent, grouillent de vie grâce à tous ces gens remuants.

En bref, une BD attirante et charmante permettant d'appréhender d'une manière ludique, un personnage aux multiples facettes.

Marianne

 

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©  Éditions Jungle, 2018

 

 

 

 Nathaniel Legendre ; Eric, Le Pape

Le parfum de Victoire, tome 1 : Fugue à Venise

Le parfum de Victoire, tome 1 : fugue à Venise est le tout premier tome d’une série mettant en scène les aventures et autres mésaventures de Victoire, fille « fictive » de l’illustrissime Giacomo Casanova. En effet, à l’heure actuelle, on ignore toujours se celui-ci eu des descendants parmi ses nombreuses conquêtes.

Le fil conducteur de l’intrique est de mouture classique, voire banal, mais, l’histoire en elle-même est rafraichissante. Tout comme les illustrations d’ailleurs.

Les divers personnages – qu’ils soient masculins et/ou féminins – possèdent un caractère bien trempé, aventureux. Notamment, Victoire qui serait la digne fille de son père.

En bref, une BD charmante et avenante dans la laquelle on oublie ses soucis pendant un petit moment lors de sa lecture, et, qui donne envie de découvrir la suite des mésaventures de la jeune Victoire. Il y a également des épisodes humoristiques. Surtout dans les scènes où intervient le chat Miou, véritable chien de garde « félin » lorsque que sa maîtresse adorée est en danger.

Marianne

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©  Éditions Daniel Maghen, 2012

 

 

 

Stephen Desberg

Les rivières du passé, tome 2 : Lamia

Les illustrations ainsi que celle de la couverture continuent d'être de qualité, et, aussi sublime dans le premier tome.

A la suite de nos deux héroïnes, nous prolongeons notre plongeon historique afin de découvrir le nom du véritable fondateur d'Aton.

Le caractère &ésotérique et aventureux ont la part belle et surtout l'intrigue en elle-même n'est absolument plus confuse comme dans le volume précédent.

Une seule époque – celle d'un passé indéfinie, floue – est de mise. Ce qui donne un récit clair, linéaire et non plus désordonné comme dans le volume intitulé La voleuse. Période qui se déroule dans une Venise et une Égypte complètement dévastée par des monstres assoiffés de sang, crées de toute pièce par le sentiment de la peur. Cela donne ainsi, grâce aux superbes illustrations, à des scène déconcertantes de Venise et de l'Egypte détruite.

Une série de bande dessinée composée de deux volumes remarquable dans laquelle l'histoire est omniprésente, même si cette dernière est teintée de fantastique et d'ésotérisme.

Petite précision, il est préférable de lire le premier tome avant celui-ci afin de comprendre les tenants et les aboutissants.

Marianne

 

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©  Éditions Futuropolis, 2023

 

 

Christophe Dabitch

Le passeur de lagunes

Christophe Dabitch, associé à l'illustrateur Piero Macola, propose un roman graphique à caractère policier, sous fond de trafic de drogues. L'immigration clandestine et ses problèmes est également présente.

L'ombre de la mafia, évoquée par le terme de Organisation, s'affiche d'une manière omniprésente en s'ingéniant, par n'importe quel moyen d'asseoir ses tentacules là où elle se trouve. Et gare à ceux et celles qui ne filent pas droit.

Il s'agit surtout d'une chronique désabusée loin de la Venise des cartes postales dans laquelle les personnages, issus des quartiers populaires. et/ou de l'immigration, tentent de survivre comme ils peuvent, et, surtout de s'éloigner des griffes de la Mafia.

Les aquarelles de Piero Macola plongent le lecteur dans une Venise, et plus particulièrement sur l'île de la Giudecca, sombre, angoissante et oppressante. Les personnages, même si ils se situent de l'autre côté de la barrière, sont attachants et sympathiques au possible. En effet, ils essayent de survivre et de se sortir d'une situation précaire afin de tenter rejoindre un avenir plus lumineux que celui qu'ils connaissent actuellement.

Marianne

 

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©  Éditions Michel Lafon, 2022

 

 

Venise

Farias, Alejandro ; d'après l'œuvre théâtrale de Jorge Accame

 

Alejandro Farias plante le décor de cette bande dessinée adaptée d'une pièce de théâtre écrite par Jorge Accame dans un "bordel" de province argentin tout en imaginant un voyage et un séjour à Venise quelque peu farfelu et irréelle.

Cela se veut humoristique et amusant mais on s'y ennuie ferme. Les gages sont lourds à souhait ainsi que caricaturaux.  Tout comme les illustrations et les dialogues. Ces derniers laissent d'ailleurs de marbres. Leurs états d'âmes ne font même pas sourire. Idem pour les diverses situations qui se veulent comiques mais qui s'enchaînent les unes derrières les autres sans trop d'intérêts.

Une bande dessinée dans laquelle la caricature, l'humour (noir ?) est forcé à outrance. Les situations grotesques que l'on découvre au fil des bulles sont peut-être voulues par le scénariste afin de mettre en avant les travers de la société argentine, mais, c'est complètement raté. Peut-être que la pièce de théâtre dont est tirée la BD est meilleure ...

Marianne

Retour répertoires bandes dessinées

 

©  Éditions Glénat 2018

 

Giacomo C. Retour à Venise, tome 2

Jean Dufaux ; ill. Griffo

 

Suite attendue avec impatience, et, dans la lignée du tome 1.

C'est toujours aussi agréable, et, facile à lire. l'intrigue tient la route tandis que les illustrations sont précises, détaillées, "vivantes". On croirait admirer une photographie, voire se trouver à Venise même.

Une lecture que je ne regrette pas.

 

Marianne

Retour répertoires bandes dessinées

©  Éditions Glénat 2017

 

Giacomo C., tome 1 : Retour à Venise

Jean Dufaux ; dessins Griffo

On retrouve la plume, et, la verve de Jean Dufaux ainsi que celle de Griffo pour les illustrations dans ces nouvelles aventures de Casanova.

Au travers le crayon de Griffo, les illustrations sont toujours aussi précise que dans les précédant tomes ainsi que sublimes, et, pleines d'allant. L'intrigue, quant à elle, est somme toute banale : une simple affaire d'espionnage dans laquelle Casanova possède le beau rôle c'est à dire celui de "sauveur" de la Sérénissime, et cela même, si ses "travers" reprennent le dessus rapidement. Il est vrai que ce "chère" Casanova a une réputation à sauvegarder : celle de séducteur devant l'éternel.

En ce qui me concerne, Casanova n'a jamais été ma tasse de thé. En effet, je l'ai toujours trouvé suffisant, très imbu de lui même ainsi qu'extrêmement  déplaisant come "bonhomme", mais, dans le cas présent, il est plutôt sympathique (mais sans pus). Faut dire qu'il est présenté comme gentil, œuvrant pour le bien être de ses concitoyens et de sa cité tout en ne résistant pas à l'appel de la "chair fraiche".

C'est plaisant, et, agréable à lire, les illustrations - comme je l'ai signalé plus haut - une petite merveille, malgré quelques scènes "osées". Enfin bref, cela m'a bien plu.

Marianne

 

Retour répertoires bandes dessinées

© Éditions  Glénat, 2017 ; Musée national de la Marine, 2017.

(Les Grandes batailles navales)

 

Lépante

Jean-Yves Delitte ; dessins Frederico Nardo

De superbes illustrations ainsi qu'un excellent scénario retrace la bataille de Lépante qui opposa les Chrétiens aux Ottomans.

C'est extrêmement  bien documenté. On sent que Jean-Yves Delitte a effectué de nombreuses recherches historiques avant d'imaginer une intrigue autour de la célèbre bataille de Lépante. D'ailleurs, Jean-Yves Delitte donne des informations complémentaires sur ladite bataille, dans un dossier historique situé en fin de volume. Ce dernier donne à ses lecteurs des explications - qui me semblent complètes, et, précises - sur l'origine de la bataille de Lépante ainsi que d'autres points tels que les prisonniers, les forçats et / ou la galère, la galéasse par exemple.

Cette bande dessinée  est à destination du grand public désirant découvrir, par une manière ludique, un fait historique qu'il ne connaît pas. Au lecteur par la suite d'effectuer la démarche afin d'approfondir le sujet si le présent volume lui a plu.

Marianne

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© Éditions  Le Lombard , 2017

 

Vasco, tome 28 ; I Pittori

 Luc Revillon ; dessin Dominique Rousseau

 

On retrouve sous la plume de Luc Revillon, et, de Dominique Rousseau, le style ainsi que l'atmosphère sombre, violente si bien retranscrite dans les albums de Gille Chaillet.

Le dessin est toujours aussi précis, net. L'intrigue est également pleine de rebondissement tout en restant fidèle au Moyen Age. Ce dernier prend vie sous les yeux des lecteurs.

Je ne lis pas souvent de bande dessinée, mais, j'avoue prendre plaisir à suivre les divers aventures et autres mésaventures de Vasco, personnage fort sympathique au demeurant.

Marianne

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© Éditions Blake et Mortimer, 2016.

Les Aventures de Blake et Mortimer, tome 24 : Le Testament de William S.

Yves Sente ; ill. André Julliard

 

Je ne lis pas beaucoup de bandes dessinées, mais, j'ai un petit faible pour cette excellente série crée par Edgar P. Jacobs en 1946.

Plusieurs scénaristes et illustrateurs ont pris la suite après le décès d'Edgar P. Jacobs, et, surtout que son œuvre soit tombée dans le domaine public avec plus ou moins de bonheurs,  mais dans le cas présent, on retrouve la veine du créateur des personnages de Blake et Mortimer.

Cela se lit d'une seule traite, et, on referme la BD avec beaucoup de regrets !!!

Marianne

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© Éditions Bamboo éd., 2014.- 2015.-

(Grand Angle).

 

La Vénitienne, tome 1 : La Colombe noire

La Vénitienne, tome 2 : La Demoiselle du Grand Canal

Patrice Ordas; ill. Laurent Gnoni

Cela m'a bien plu. Je me suis plongée avec intérêt, et, plaisir dans "l'univers" sombre, impitoyable, voire par moment "fantastique" de la Venise de 1499, et, cela même si j'ai été quelque peu gênée dans ma lecture ainsi que dans la compréhension de l'intrigue  par la petitesse des caractères d'imprimeries dans les bulles.

Dommage car cela  a un peu gâché ma lecture. Malgré ce petit bémol, ce fut un bon après-midi d'évasion dans une Venise dépaysante et mystérieuse à la fois.

Marianne

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© Éditions Dargaud, 2016

 

 

Marina, tome 3 : Razzias

Zidrou ; illustrations Matteo

Un troisième tome qui tient toutes ses promesses en tenant en haleine ses lecteurs jusqu'à la dernière page de l'album.

En ce qui me concerne, je ne lis guère de bandes dessinées, mais là, j'avoue être emballée par cette série. Impossible d'arrêter ma lecture tant je désirais connaître le fin mot de l'épisode en cours.

A mon avis, les trois tomes composant la "saga" de Marina mériteraient d'être un peu plus connue qu'elle ne l'ai actuellement. C'est vraiment dommage car il s'agit d'une série de qualité tant par l'intrigue imaginée par Zidrou que par les illustrations.

Que va t'-il arriver à Marina, la fille du doge ? J'espère que le et/ou les tome(s) suivant(s) répondront aux questions diverses que l'on se pose.

Marianne

 

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© Éditions Dargaud, 2014

 

 

Marina, tome 2 : La Prophétie de Dante Alighieri

 Zidrou ; illustrations Matteo

Pratiquement rien à redire par rapport au tome 1 (rf Les Enfants du doge).

En effet, les dessins sont toujours aussi sublimes, et, l'intrigue "maléfique" à souhait (si l'on peut parler ainsi, bien sûr). Zidrou, tout comme Matteo ont réussi, au travers du scénario, et, des illustrations, à transmettre à leurs lecteurs, une atmosphère sombre, violente, et, cela sous couvert d'une Venise quelque peu fantastique.

Enfin bref, un tome 2 fort réussi avec une intrigue qui tient la route. Les personnages, quant à eux, sont représentés avec réalisme, et, beaucoup de finesse.

A ne pas douter, le tome 3 tiendra ses promesses. Une série à suivre avec intérêt.

Marianne

 

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© Éditions Dargaud, 2013

 

 

Marina, tome 1 : Les enfants du doge

Zidrou ; ill. Matteo

De magnifiques illustrations accompagnent une intrigue aux multiples rebondissements. Comme toute série/saga qui se respectent, la bande dessinée s'arrête en pleine action c'est à dire au moment où il ne faut pas.

Vivement la suite des aventures de Marina. En effet, cette "mise en bouche" est palpitante, pleine de suspense. On se demande ce que va devenir l'héroïne, et, surtout  si  elle va réussir à s'échapper du couvent  dans lequel elle est prisonnière ainsi qu'à réaliser sa vengeance (si il y a vengeance).

Une saga en bande dessinée à lire et à suivre  de toute urgence.

Marianne

 

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© Éditions Glénat, 2012 ; 2013

 

 

 

L'Oracle della Luna, tome 1 : Le Maître des Abruzzes

L'Oracle della Luna, tome 2 : Les Amants de Venise

 

Frédéric Lenoir,  ill. Griffo

 

Une fidèle adaptation en bande dessinée du roman éponyme de Frédéric Lenoir.

Petite précision, c'est Frédéric Lenoir lui même qui en a écrit le scénario, et, c'est particulièrement réussi, y compris au niveau des illustrations qui sont tout simplement sublimes.

Ayant déjà, il y a quelques années déjà, le roman, cela ne m'a guère gêné de suivre, à nouveau, les aventures du jeune héros. Il est vrai que j'avais beaucoup apprécié la lecture du roman, et, je me suis plongée dans la bande dessinée avec délectation.

Il est probable, également, que débuter la lecture de L'Oracle della Luna par la bande dessinée ne peut que donner envie de lire le roman afin d'approfondir certains points, certains faits évoqués dans la BD. Mais ce n'est que mon avis.

Enfin bref, rien à rajouter de plus, sauf que j'attends avec impatience de lire la suite.

Et, si j'ai bien compris, le tome 3 est déjà paru et le 4eme tome est en cours de préparation.

Marianne

J'ai moi aussi beaucoup aimé le roman et j'avoue avoir retrouvé tous ces personnages avec plaisir dans ces BDS

Nicole

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© Éditions Mosquito, 2014

 

 

Lunes vénitiennes

Vianello

En ce qui me concerne, je n'ai pas trop accroché à cette bande déssinée, dont les illustrations en noir et blanc un peu trop épurées à mon goût me font penser à la série des Corto Maltese*.

Je reconnais que si je n'apprécie guère les illustrations, le reste c'est à dire le scénario ne suit pas même si ce dernier est excellent.

Mais cela peut plaire à certains.

* Pour tout avouer, je n'ai jamais aimé Corto Maltese.

Marianne

 

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© Éditions Emmanuel Prous, 2012

(Atmosphères).

 

 

Venise hantée, tome 1 : L’étrange mort de Lord Montbarry

 Roger Seiter / Illustré par Vincent Wagner

 

Librement adapté du roman de William Wilkie Collins, cette version BD de L’hôtel hantée est, selon moi excellente. Les illustrations sont tout simplement magnifiques, je dirais même mieux, sublimes.

En ce qui me concerne, j’attends avec impatience la parution du 2eme et dernier tome.

Marianne

 

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