Romans 9
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© Éditions Fayard 2006
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Ippolito Nievo (1831-1861). Bien que publié en 1867, quelques années après le décès tragique, et, accidentel, lors d'un naufrage, d'Ippolito Nievo en 1861, ce roman fut écrit en 1857, et, reste encore de nos jours, un ouvrage majeur dans l'œuvre du romancier. Ce n'est facile à aborder, à appréhender, et cela même en s'accrochant. En effet, même si la traduction est excellente, le style alerte, vif. Celui-ci reste malgré tout quelque peu désuet. Ce qui fait que le lecteur a un peu de mal à entrer dans l'intrigue. Il s'agit, en fait, d'un roman de formation (dit aussi d'apprentissage) dans lequel Ippolito Nievo retrace, au travers les yeux de son héros, Carlo Altoviti, l'histoire de l'Italie entre la fin du 18eme siècle, et, 1855 (année correspondant à la veille de l'unité italienne). Le lecteur assiste ainsi à l'arrivée, puis, à l'expansion des idées de la Révolution française, aux guerres napoléoniennes ainsi qu'à la lente agonie de Venise. En fait, Ippolito Nievo sait de quoi il parle car il a combattu au côté de Garibaldi lors de l'unité italienne. Même si j'ai trouvé la lecture de Confessions d'un italien difficile, on ne peut pas dire que cela m'ai déplu. On sent qu'il y a de nombreuses envolées lyriques au niveau de l'écriture ainsi qu'un certain enthousiasme de la part de l'auteur, peut être dû à l'atmosphère qui régnait alors à l'époque où le roman a été composé. Malgré tout, Ippoloto Nievo est un romancier à lire et/ou à découvrir. Roman de formation (ou d'apprentissage) : retrace le cheminement évolutif du héros, souvent jeune jusqu'à atteindre l'idéal de l'homme accompli, et, surtout cultivé. C'est aussi la découverte d'un domaine particulier, comme par exemple l'amour, la mort, la haine, la jalousie, etc. (Source : Wikipédia). Marianne
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© Éditions J. C. Lattès, 2006
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Vincent Engel
Présenté comme la suite de Retour à Montechiarro, Les Absentes est plutôt un roman ayant une existence à part entière, et, cela même si on croise certains personnages présents dans le précédent titre cité plus haut. Vincent Engel tente une approche psychologique plus poussé sur ses personnages afin d'éclaircir certains comportements évoqués dans Retour à Montechiarro, du moins en ce qui concerne Gioacchino Bruchola et Domenico Della Rocca. Quant au 3eme "larron" - Baptiste Morgan - je le juge quelque peu indécis, confus, inconsistant, et, me semble faire le lien entre plusieurs titres écrits par Vincent Engel, et, dans lesquels interviennent la plupart des protagonistes évoqués dans le présent titre c'est-à-dire Retour à Montechiarro, Le Miroir des illusions, Raphael et Laetitia ainsi que Requiem vénitien où intervient le musicien (personnage fictif) Alessandro Giacolli. De tous les "manuscrits" composés par Vincent Engel, la présente œuvre n'est pas celle que je préfère, mais, je reconnais l'avoir lu avec beaucoup de plaisir, et, surtout passé un excellent moment de lecture. Marianne
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© Éditions Albin Michel, 2017
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Biographie romancée d'une ancienne esclave soudanaise devenue religieuse. Même si il ne s'agit pas d'un coup de cœur pour moi, même si ce roman m'a paru ardu par moment, et, qu'il m'a semblé également à la limite du documentaire - peut être dû au sujet ainsi qu'au style sec, impersonnel - je l'ai lu avec intérêt. Il est vrai qu'à part le best-sellers d'Alex Harley intitulé Racines, et, lu il y a déjà quelques années, je n'ai guère eu l'occasion de lire des ouvrages traitant de l'esclavage. Ce fut aussi pour moi l'occasion de découvrir le destin incroyable de cette femme devenue - si j'ai bien compris - le symbole de l'esclavage, et, cela à son corps défendant. Malgré un petit bémol concernant le style qui m'a quelque peu rebuté, Bakhita reste un excellent roman traitant d'un sujet "grave" : celui de la traite négrière et de l'esclavage. Il s'agit d'un titre à lire, et, à découvrir, si tant soit peu, on s'intéresse au sujet c'est à dire celui des esclaves. Marianne
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© Éditions Gallimard, 1993.
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Roman pas facile à appréhender, à aborder. D'ailleurs, je n'ai pas réussi à le lire. Le peu que j'en ai lu, et, surtout compris, il s'agit d'un dialogue philosophique entre un extraterrestre (A), et, le narrateur (O), décédé dès la 1ere ligne du roman. Il s'agit d'un long - voire très long - dialogue philosophique (552 pages) dans lequel O (Jean d'Ormesson lui même), et, A, se posent de nombreuses questions, souvent sans réponses sur l'homme en général, l'univers, la destinée, etc. Le tout ponctué de nombreuses références littéraires et culturelles. N'ayant pas un esprit philosophique, j'avais trouvé, à l'époque où j'avais tenté de le lire vraiment hermétique ainsi qu'incompréhensible, d'où un abandon rapide de ma part, en tout début de lecture. J'ai préféré, et de loin, son roman intitulé Au plaisir de Dieu, tout en reconnaissant que ce titre reste un incontournable. Marianne
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© Éditions Gallimard, 1990
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Tout comme La Douane de mer, je n'ai pas réussi à finir ce roman à caractère philosophie. Malgré l'érudition de Jean d'Ormesson afin de rendre son roman attrayant au plus grand nombre, c'est tout le contraire qui se passe. En effet,, cela reste totalement hermétique ainsi qu'incompréhensible. Les références érudites à connotations littéraires et culturelles dont Jean d'Ormesson émaille son "survol" de l'histoire de l'humanité, et cela, au travers des "péripéties" du "juif errant" n'ont pas réussi à ce que je m'accroche afin de poursuivre et surtout finir ma lecture. Malgré tout, je reconnais que ce titre (tout comme La Douane de mer d'ailleurs) est extrêmement bien écrit, et, qu'il restera une référence majeure dans l'œuvre de son auteur. Marianne
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© Éditions Fayard, 2001
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Une superbe fresque évoquant l'histoire quelque peu "mouvementé" de l'Italie pendant une "courte" période : entre 1855, et 1978. C'est au travers d'une famille (celle du Comte Della Rocca), mais, sur plusieurs générations que le lecteur se plonge en plein Risorgimento, fascisme, et années de plomb. L'ambition, la lutte pour le pouvoir, la gloire, l'argent sont au cœur de cette saga inoubliable dont l'action se situe à Venise (en début de roman), mais, surtout à Montechiarro, petit village situé en plein cœur de la Toscane. On peu remarquer que même au fin fond d'une région comme la Toscane, les habitants subissent de plein fouet, les événements , et cela, à leur corps défendant tout en luttant comme ils peuvent pour leur survie, et, en "appréciant" (si on peut parler ainsi dans les années 1855), la construction, et, l'ouverture d'une école afin que tous les enfants aient accès à l'éducation. Une saga, je dirais même mieux, une véritable épopée qui se dévore tant par ses personnages, et notamment, par les figures emblématiques d'Agnese Della Rocca (petite fille du Comte Bonifacio Della Rocca), et, de Sébastien Morgan - qui essaient tant bien que mal de lutter contre leur destin ainsi que la fatalité - que par son atmosphère sombre, noire qui s'y dégage, peut être dû à l'époque tourmentée dans laquelle se déroule l'action. Marianne
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© Éditions Safran, 2017
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Chronique douce amère retraçant "le destin" tragique de deux êtres, abimés par la vie, et, surtout partant à la dérive. Alcoolisme, maladie, trahison, mensonges, etc... sont au centre de ce drame se déroulant sous nos yeux. Dès les premières lignes, le décor est planté : Venise où règne une atmosphère morose, oppressante, glaciale (du moins à mon humble avis), dû en grande partie, au profond mal être, mais, surtout à la déchéance physique, et, psychologique dont est victime l'un des deux protagonistes (Rodolphe Marchant). Digne héritière des tragédies grecques, Dernière valse à Venise est surtout une tentative de rédemption de la part de Rodolphe Marchant qui échouera, et, le mènera à sa perte car trop empreinte de mensonges, de non dits, etc. C'est le tout premier roman de Serge Héaume que je lis, et, ce fus pour moi une belle découverte car il traite avec beaucoup de pudeur d'un véritable fléau, celui de l'alcoolisme ainsi que la volonté de s'en sortir même si parfois, cela ne tient qu'à un fil et/ou par une série de mensonges ou que cela se solde ou non par un échec. Marianne
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© Éditions Safran, 2021
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Michèle Teysseyre évoque des personnages illustres de la Sérénissime : Antonio Vivaldi, Giuseppe Casanova et Rosalba Carriera, peintre du XVIIIème siècle, leurs tristes fins de vie pour deux d'entre eux, loin de Venise physiquement et pour la troisième Rosalba Carriera, une lente disparition de la cité par la perte progressive de sa vision. D'une belle écriture et d'une lecture agréable sous forme de roman, l'auteur provoque en nous des émotions très fortes. J'ai bien aimé cet ouvrage pour ces moments passés avec ces trois "Icônes" du XVIIème siècle, même si c'était à l'automne de leur vie?
Nicole
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© Éditions Préludes, 2017
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Une lecture plus que laborieuse en ce qui me concerne. J'ai vu le moment où je n'arriverais jamais au bout de cet énorme pavé de 796 pages. En effet, il y a, à mon goût, beaucoup trop de longueurs, de répétitions, et surtout 250/300 pages en trop. Conclusion, mon intérêt partait en vadrouille, et, il fallait que je revienne en arrière afin de me replonger dans cette fresque, et, surtout me réapproprier les événements, les personnages se déroulant, évoluant sous mes yeux. Même si j'ai poussé un ouf de soulagement au moment où j'ai reposé ce roman, je reconnais que l'écriture de Luca di Fulvio est une petite merveille - tout comme la traduction d'ailleurs - les envolées lyriques font que l'on s'accroche afin d'aller jusqu'au bout du livre. Je sors de cette lecture avec un sentiment mitigé ainsi que quelque peu déçue. Peut être que j'en attendais trop au vue de toutes les excellentes critiques que j'ai pu lire un peu partout sur la toile, et, autres réseaux sociaux. Il y a de fortes chances pour que l'atmosphère sombre, pesante, oppressante qui se dégage au fil des pages ait également joué. Atmosphère qui s'assombrit encore plus au fur et à mesure que l'on approche du dénouement. Les personnages ne font aucun effort pour se rendre sympathique, pour s'en sortir tout en acceptant leur sort avec fatalité, le tout sous fond d'antisémitisme profond. Du moins, c'est le sentiment que j'ai ressenti tout au long de ma lecture. J'ai découvert Luca di Fulvio par l'intermédiaire de ce titre, et, je pense que je ne renouvellerais pas l'expérience. Marianne
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© Éditions Calmann Levy, 2015
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Ce court roman, tout en finesse, décrit avec beaucoup de pudeur, d'émotion un monde décadent : celui de l'aristocratie ainsi que l'amour, la folie, et, la mort. Il est vrai que ces thèmes ont été traités à maintes reprises dans de nombreux romans, mais, l'action se déroulant à la veille du déclenchement de la guerre 14/18 fait qu'une profonde angoisse se dégage parmi les membres de cette aristocratie frivole, désœuvrée, et, quelque peu déboussolée devant un monde à l'avenir incertain. C'est l'occasion également pour Andrea Molesini de décrire avec délicatesse, pudeur, certains secrets, mystères entourant l'héroïne, la marquise Margarèthe Von Hayek dont on pressent qu'un drame dû à une passion amoureuse l'a fragilisé psychologiquement, et, dont elle ne se remettra jamais. Je connaissais, et, appréciais Andrea Molesini en tant que romancier pour la jeunesse. Je n'ai donc pas été déçue par ce titre. Marianne
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© Éditions Le Livre de poche, 2015 (Le Livre de poche ; 33738) |
La trilogie italienne, tome 1 : Sur tes yeux x N'étant pas amatrice de littérature érotique, j'aurais tendance à trouver ce titre inintéressant . L'intrigue est creuse, linéaire. L'écriture d'une platitude profonde. Les personnages, quant à eux, n'en parlons pas. Ils sont superficiels, inexistants, et, surtout nunuches. Mais peut être est ce le genre littéraire qui veut ça. Même si la littérature érotique ne m'attire et ne me plait guère, je peux comprendre qu'il y ait des amateurs afin de mettre en valeur leur libido. Marianne
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© Éditions Xo éditions, 2017.
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Il s'agit du tout premier roman de Mireille Calmel que je lis, et, je n'ai pas été déçue par ma lecture. Dès les premières lignes, le décor et l'intrigue sont plantés, et, dévoilés afin d'entrainer le lecteur dans une "aventure" de cape et d'épée aux multiples rebondissements. Ces derniers ne ménagent pas le lecteur. Tout comme les différents protagonistes d'ailleurs. Rien ne leur sera épargné. Amour, traitrise, morts et meurtres en tout genre s'entremêlent au fil des pages pour notre plus grand plaisir. Dommage qu'il faille attendre un peu la parution du tome 2 afin de connaître ce qu'il adviendra de Lucia et ses compagnons. Il y a de fortes chances pour qu'il soit, tout comme le tome 1, dévoré en quelques heures. En ce qui me concerne, je verrais bien ce roman adapté en film. En effet, l'intrigue possède tous les ingrédients pour écrire un excellent scénario de film de capes et d'épées. Marianne
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© Éditions Flammarion, 2015.
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Roman lu en diagonale avec une impression d'avoir perdu mon temps. Cela se présente sous la forme d'un journal intime écrit par un adolescent, sur un ton qui se veut humoristique, mais, qui m'a profondément ennuyé, ainsi que pas intéressé du tout. Même si je n'ai pas adhéré au style, à l'écriture de l'auteur ainsi qu'au fil conducteur de l'intrigue, je reconnais que ce petit roman peut plaire à certain(e)s. Marianne
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© Éditions Préludes, 2017
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Un roman avec pour personnage central Antonio Vivaldi, il n'en fallait pas plus pour que je me précipite dessus. Eh oui, j'avoue un petit faible pour ce compositeur. Il s'agit du tout premier roman écrit par Christiana Moreau, et, bien, bravo car je l'ai lu pratiquement en deux après-midis. Une fois commencé, impossible pour moi de le lâcher tellement j'ai été happée par l'intrigue. L'histoire mêle à la fois personnages fictifs et réels, présents et passé. Le passé expliquant des faits se déroulants à l'époque contemporaine. Dans le cas qui nous intéresse, c'est la Venise du XVIIe siècle , et, plus particulièrement la musique baroque en compagnie du Prêtre Roux (Vivaldi) ainsi que l'illustre Hospice de la Pietà qui fait le lien avec des faits se passant à notre époque. Ce n'est pas la première fois que je lis un roman comprenant ce schéma d'écriture, et, cela ne me gêne pas guère quand l'intrigue, le style sont excellent. Appréciant la musique baroque, et Vivaldi, je prends beaucoup de plaisirs à me plonger dans des romans dont l'action se déroule dans ce milieu, et, avec pour point central l'Hospice de la Pietà, connu pour former des musiciennes et des chanteuses hors paires, et, dont le maître de chapelle fut un certain Vivaldi. Christiana Moreau est une romancière à découvrir et à lire. J'espère qu'il y aura d'autres titres comme celui ci. Marianne
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© Éditions Tallandier, 2016. |
Un roman dont l'action se déroule dans la Venise des année 1582, et plus particulièrement, au large des côtes vénitiennes. Fort agréable à lire, il devrait plaire à plus d'un. De nombreuses recherches ont été effectuée par Alessandro Barbero. En effet, on sent qu'il sait de quoi il parle lorsqu'il s'attarde sur un point de détail.o C'est parfois fastidieux, pas évident à lire, mais, intéressant car cela permet de découvrir la vie d'une galère ainsi que le sort des galériens, qu'ils soient libres ou esclaves. Malgré ces petits bémols, je suis "entrée" facilement dans l'intrigue imaginée par l'auteur car tous les ingrédients sont réunis pour que ce titre devienne un bon roman d'amour, et, d'aventure dans lequel on prend fait et cause pour les héros, tout en souhaitant que les méchants soient punis. Même si je n'en garderais pas un souvenir impérissable, ce titre - à destination du grand public - ne m'a pas déplu, et, j'ai passé quelques bons moments de détente, et, de plaisir en compagnie des divers héros évoluant au fil des pages. Marianne
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© Éditions Les Escales, 2016 (Domaine Français)
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Découvert avec l'excellent roman Requiem vénitien, j'avoue ne pas avoir été déçue par lecture du nouveau titre de Vincent Engel. Cette sombre histoire de haine, et, de vengeance a littéralement été dévorée en quelques jours. En ce qui me concerne, le dénouement m'a également bluffé. En effet, je ne m'attendais guère à un tel revirement, tellement, j'étais persuadé que la vengeance - préméditée par les protagonistes - aboutirait. Divisé en trois parties, Vincent Engel donne, dans son roman, à tour de rôle, la parole à ses personnages. Ces derniers, au travers de l'évocation de leurs vies personnelles, donnent leurs arguments sur les faits qui les ont fait basculé dans la haine envers les uns et les autres, et surtout, vouloir à tout prix se venger. Au point d'en devenir une affaire d'état, et, d'en oublier de vivre. Un véritable coup de cœur pour moi. Un roman qui se dévore comme un polar, et, surtout à lire de toute urgence. Marianne
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© Éditions Robert Laffont, 2016
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Couleurs Venise : La Vie de Titien A destination du grand public, le présent retrace d'une manière romancée, la vie d'un peintre de génie : Tiziano Vecellio, dit Titien. Cette évocation de la vie et l'œuvre du Titien est plaisante ainsi qu'agréable à lire tout en permettant d'appréhender facilement la vie artistique à l'époque de la Renaissance italienne. Cette dernière gravitant autour du Titien, cela permet aux lecteurs de croiser des écrivains tels que l'Arétin, Vasari, et, les peintres Véronèse, et, Tintoretto. Il est vrai que si l'on désire approfondir la vie et l'œuvre du Titien, il est conseillé de se diriger vers la lecture d'un documentaire concernant le Titien lui même et/ou la période du Cinquecento , écrit par un spécialiste. En ce qui me concerne, Couleurs Venise m'a bien plu, et, peut plaire à certains qui n'iront pas effectuer la démarche d'ouvrir un bouquin sur Titien. Marianne
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© Éditions Flammarion, 2015
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Un superbe roman traitant de tolérance, de rapprochement entre les peuples d'Orient et d'Occident, de despotisme ainsi que la découverte d'une civilisation, et, de la cour du sultan Mehmet II. Celle-ci est centrée autour d'un seul homme - Mehmet II - ayant le pouvoir de vie et de mort sur tout un peuple, qu'il appartienne ou non à sa cour. Centrée autour d'un fait historique avéré - le séjour du peintre Gentile Bellini à Istanbul - c'est l'occasion pour l'auteur de développer ses idées tout en démontrant que les individus - quelque soient leurs religions - peuvent vivre ensemble. C'est également un fervent plaidoyer contre le fanatisme et l'intolérance en général. En ce qui me concerne, j'ai littéralement dévoré ce roman, au point d'en oublier télé, internet, de dormir, et, surtout "bien fade" le roman suivant. Marianne
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© Éditions Albin Michel, 2015.
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Au travers de faits réels (indépendance, puis, partition de l’Inde en 1947, puis, le fameux Bal du siècle, à Venise, en 1951), Stéphanie Des Horts imagine une histoire d’amour poignante, émouvante, mais, qui se révélera tragique, voire funeste lors de son dénouement. Tout au long récit se dégage une atmosphère sombre, inquiétante. On comprend rapidement que les divers protagonistes auront un destin cruel, tout en étant malheureux, et, en assistant – sans pouvoir rien faire – au déchirement d’un pays (L’inde) qu’ils ont fini par considérer comme le leur. C’est l’occasion également pour le lecteur, lors du bal du siècle, d’assister à l’arrivée à Venise, d’innombrables célébrités (tel Paul Morand, Dali, Orson Welles, etc.), puis, au déroulement du ledit bal avec pour personnage principal, un petit monde factice, et, hypocrite. Il s’agit d’un roman, agréable, sympathique à découvrir, et, qui se lit très facilement, même si parfois les « situations » sont quelque peu dur pour les divers protagonistes évoluant au fil des pages. C’est aussi l’occasion de découvrir un événement peu connu du grand public c'est-à-dire le bal du siècle, qui fut considéré, durant l’année 1951n comme l’événement mondain du XXème siècle. (Pour la petite histoire, celui-ci fut organisé, par Charles de Beistegui, le 3 septembre 1951, au Palais Labia). En ce qui me concerne, ce fut une belle découverte ainsi qu’un bon moment de lecture. Marianne
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Marianne a tout dit !
1947... 1951.. Deux dates, deux événements Nicole |
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© Éditions Gallimard, 2006 (Folio ; 1020)
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L’action de ce court roman d’Alejo Carpentier se déroule dans la Venise du XVIIIème siècle, et, plus particulièrement pendant le Carnaval. Il s’agit d’un hommage à la musique baroque. Alejo Carpentier s’exprime dans une écriture baroque, flamboyante, foisonnante où tout est possible, irréelle, incroyable … En ce qui me concerne, j’ai eu un peu de mal à suivre, à comprendre le fil conducteur de cet ouvrage. Le mieux est de le lire afin de s’en faire sa propre idée. Marianne
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© Éditions Mercure de France, 2014.
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C'est
quelque peu dubitative que j'ai refermé ce roman.
Je me suis demandée, tout au long de ma lecture, où voulait en venir l'auteur.
C'est plat, linéaire, voire même ennuyeux.
En ce qui me concerne, j'ai vraiment regreté mon achat. Marianne
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© Éditions Le Passeur, 2014.
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Marianne
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© Éditions Pygmalion, 2015.
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Un excellent moment de détente, et, de dépaysement - du moins en ce qui me concerne - avec la lecture de ce roman de Giuseppe Furno que j'ai littéralement dévoré. Tous les ingrédients (complot, trahison, morts suspectes, amour contrarié, etc.) sont réunis afin de tenir en haleine le lecteur de la première à la dernière page de ce premier tome. J'espère que le tome 2 - que j'attends avec impatience - tiendra ses promesses. On sent que Giuseppe Furno a effectué de nombreuses recherches historiques, politiques, etc., sur Venise avant d'écrire son roman afin que cela "colle" au plus près de la "réalité vénitienne", mais, cela reste avant tout un très bon roman historique, facile et agréable à lire ainsi que passionnant à souhait !!! Si l'on apprécie les romans aux multiples rebondissements, grand public, un "tantinet" fleur bleu, alors, ce titre (et sa suite) sont pour vous. Marianne
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© Éditions Pygmalion, 2015.
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Je n'ai rien à ajouter par rapport à ma critique concernant le tome 1. Il est aussi excellent que le précédent tome, et, je n'ai vraiment pas été déçue par ma lecture. Tout comme le premier tome, je l'ai dévoré, et, il m'a été impossible de le lâcher. J ne regrette absolument pas mes achats. Marianne
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© Éditions Presses de la cité, 2013. (Terres de France)
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Un excellent roman historique racontant la fin de la 3eme croisade ainsi que la 4eme croisade dans sa totalité. On sent que Jean-Michel Thibaux a passé de nombreuses heures à effectuer des recherches sur le sujet car cela fourmille de détails précis concernant la vie quotidienne, la religion, etc., au Moyen Orient, à cette époque. On y apprends également plein de choses tout en se détendant... Les personnages, c'est à dire Asselin et Gisla, sont attachants, généreux,, intelligents, fins observateurs, tout en acceptant ce que leur offre la vie. On leur souhaite que le meilleur pour eux. Le dénouement appelle une suite, mais, Jean-Michel Thibaux étant décédé en mars 2015, ce titre fait donc partie des 3 derniers romans (avec Le Rappel du Tambour en 2014, et, La Croisades des voleurs en 2015) écrits et publiés par l'auteur. Je resterais, donc, sur ma faim quant au devenir des jeunes héros Asselin, et, Gisla. Marianne
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© Éditions Milady, 2014 (Milady Romance)
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Les Aventures de Miss Alethea Darcy Par ennui, j'ai parcouru ce roman dit à l'eau de rose en diagonale. En ce qui me concerne, je lis régulièrement ce genre de littérature pour me reposer les neurones, mais là, je reconnais qu'il s'agit d'un roman sans intérêt, et, qu'il vaut mieux éviter de le lire. Selon moi, il s'agit d'une "suite" (si l'on peut parler ainsi) ratée du chez d'œuvre de Jane Austen Orgueil et préjugés. Sans réel intérêt, même par curiosité. Marianne
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