Un Frédéric
Lenormand au meilleur de sa forme, et, à l'imagination débordante.
L'intrigue centrée
autour d'une simple affaire d'espionnage, et, de gros sous est somme toute
banale, mais, qu'importe !!!
L'humour ainsi que
de nombreux jeux de mots sont au rendez-vous. Ces derniers se distillent au
fil des pages, voire même à chaque paragraphe, et, à chaque phrase. Par les
temps qui courent, cela fait un bien fou.
Lire un Lenormand
est le meilleur remède contre la dépression, le vague à l'âme. Enfin bref,
un excellent cru que l'on dévore, voire que l'on savoure avec délectation.
J'espère vivement
qu'un 7eme tome est en cours d'écriture. A lire de toute urgence si l'on
désire passer un bon moment de détente et/ou de repos.
C’est avec
beaucoup de regrets que j’ai refermé le dernier Frédéric Lenormand.
Comme à son
habitude, l’auteur entraîne ses lecteurs, à la suite de ses héros, dans une
enquête mouvementée, passionnante, et, surtout pleine d’humour.
On remarquera,
également, un petit clin d’œil (en guise d’hommage) au roman de Jules Verne
intitulé L’Ile mystérieuse. En effet, l’intrigue ne se déroule
pas à Venise même, mais, dans les iles l’entourant. C’est une manière
sympathique de visiter, de découvrir des îles qui, pour la plupart,
n’existent plus aujourd’hui.
Enfin bref, on
passe un excellent moment lors de la lecture de ce roman policier, et, en ce
qui me concerne, je n’ai pas vu le temps passé !!!!
Marianne
Il s'agit en fait du tome5
des Mystères de Venise de Lorédan. D'après ce qui est écrit sur la
couverture l'auteur reprend son vrai nom.
Cette fois ci, Leonora ( avec Flaminio
et d'autres compagnons aussi excentriques ) part à la recherche ( entre
autre chose ) d'un mage qui doit guérir le Doge lequel est fort mal en
point.
Pour cette enquête, elle nous fait
voyager au travers de quelques iles de la lagune. Les habitants de ces
iles sont aussi bizarres que les compagnons de Leonora .
Les rebondissements sont échevelés,
incroyables mais c'est léger, facile à lire et aussi amusant que les
quatre premiers tomes.
C’est avec beaucoup de regrets
que j’ai reposé cette nouvelle enquête de Leonora.
Ce polar est
un véritable délice culinaire, et, se déguste avec délectation.
L’intrigue
est diabolique à souhait. Il n’y a aucun temps, et, l’action rebondit à
chaque page, voire, à chaque paragraphe !!!!!
Enfin bref, il est à lire (heu non, à
dévorer) de toute urgence tellement le style, les jeux de mots sont
savoureux.
De mon côté,
j’attends avec impatience la parution du tome 5.
Marianne
Lu et de loin le..... moins bon dessert que
nous a offert Loredan.
Il se dévore avec
facilité mais à force de resservir les plats de chapitres en chapitres. On
finit par avoir l'impression de manger toujours la même chose.
L'intrigue est un peu
légère (comme le ton d'ailleurs ce qui n'est pas forcément désagréable) et
complètement baroque (mais la meringue à l'excès...).
L'action, très
cinématographique, tends vers la farce... Mais la farce n'est elle pas plus
adaptée à la cuisine qu'à la pâtisserie ?
Quant' à l'héroïne,
elle s'est installée dans son statut d'agent secret et, à mon gout, se
révèle moins attachante que dans les épisodes précédent.
Allez, facile sur la
plage l’été, ne vous en privez pas quand même... Mais après avoir lu les
précédents pour être un peu tolérant.
Comme dans les deux précédents volumes, c’est
toujours aussi facile et agréable à lire.
On ne peut que s’attacher aux personnages,
et, notamment à celui de Leonora Pucci, détective en jupon peu
conventionnel, n’ayant pas la langue dans sa poche et, qui découvre peu à
peu la vie ainsi que les « us et coutumes » à Venise tout en étant
intelligente, intrépide, curieuse, etc !!!!!
Marianne
J'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir
notre héroïne Leonora plus intrépide que jamais.
La découverte des couvents vénitiens
peu conventionnel il faut l'avouer est intéressante aussi !!!
Il semblerait
que le Palais des Doges - siège du gouvernement vénitien - ne soit pas le
lieu calme que l’on penserait !!!!!
Leonora va
l’apprendre à ses dépends … … …
Au fil de son
enquête qui la mènera à arpenter les calli vénitiennes ainsi qu’à visiter le
Palais des Doges de fonds en comble, Leonora devra déjouer les plans d’un
meurtrier, des tentatives d’assassinats sur sa petite personne, mettre à
jour des complots, etc.
Et pendant ce
temps, sa «mère » se démène pour la marier au rejeton de la meilleure
famille « noble » vénitienne !!!! (avec un compte en banque digne de ce nom
afin de relever les finances de la famille).
Ce qui donne
quelques conciliabules hilarants, des scènes cocasses, amusantes …
Comme dans le 1er
tome, les coups de théâtre se succèdent aux coups de théâtre.
On retrouve avec
plaisir, Leonora, la jeune détective en jupon, au caractère bien trempé, et,
surtout portant un regard lucide sur la société qui l’entoure… …
C’est toujours
facile et agréable à lire.
Il est vrai que
l’héroïne est attachante. On suit avec plaisir ses aventures.
C’est l’occasion
pour l’auteur d’expliquer les rouages - très compliqués - du gouvernement
vénitien (gouvernement composé de la noblesse vénitienne, à condition
d’appartenir à l’une des anciennes familles inscrites au Livre d’or) avec
son lot de mesquinerie, de jalousie, de trahison, d’hypocrisie et où tous
les coups sont permis … …
Marianne
Agréable surprise : La suite du tome 1
est réussie !
Je suis Marianne dans sa critique
et vous encourage à vous lancer dans l’aventure Loredan.
J@M
Ils ont tout dit !!!
Que dire de plus sinon que j'ai
retrouvé l'héroïne avec beaucoup de plaisir et que l'on passe avec elle des
moments très agréables.
Cette nouvelle série policière a vu le jour grâce à la
fascination qu'éprouve l'auteur pour Venise. Dix volumes vont la composer. Elle se déroule au XVIII° siècle, et, a pour personnage
récurrent, un détective en jupon : une jeune orpheline, élevée par les
Ursulines, Leonora Pucci.
On retrouve tous les ingrédients d'un bon polar, c'est à
dire meurtres, complots, magouilles, jalousie... ... A la suite de Leonora, le lecteur entre dans les palais,
côtoie la noblesse, participe au carnaval, à la Fête du Redentore, à la
Sensa. On suit pas à pas l'élection du Doge. C'est l'occasion pour le lecteur de découvrir la vie
quotidienne des vénitiens, notamment celle de la noblesse avec ses codes
d'honneur !!! On s'aperçoit ainsi qu'il ne fait pas bon vivre à Venise à
cette époque !!!
On entre facilement dans la peau des différents
personnages, auxquels on s'attache malgré la duplicité de certains, et, on
ne peut qu'éprouver que de la pitié devant leur défaite.
Un petit polar qui m'a beaucoup plu et je continuerai
à suivre la série avec beaucoup de plaisir !!!
Marianne
J'ai bien aimé ce petit roman que je
qualifierais de "policier" bien que le terme ne lui convienne pas trop !!!
A mi-chemin entre "histoire" "roman
romanesque" et "enquête policière" il m'a séduite par sa facilité.
L'intrigue en elle-même est double et notre enquêteur en jupons nous
fascine par sa détermination. Certes ce personnage créé de toute pièce par
l'auteur est un peu hors du temps et très moderne... Il n'était pas
courant en cette période historique de voir une femme se comporter comme
notre héroine surtout pour une personne sortie tout droit d'un couvent !
J'ai aussi noté que l'auteur a une culture
historique de la Cité des Doges dont il doit être je pense comme moi-même
un passionné, car il n'hésite pas à nous faire pénétrer dans les méandres
assez compliqués des institutions de La Sérénissime et en particulier pour
l'élection de son Doge.
Bon on reste un peu sur sa "faim" quand
même... Mais la série ne fait que commencer... Alors la suite va aussi et
certainement nous passionner.
Nicole
Une aventure plaisante à lire et bien documentée. Une énigme un peu
simplette dans sa conclusion. Cela m'a fait un peu penser au Club des Cinq
d'Enid Blyton que je dévorai, enfant, en version pour grands. Claude,
pardon, Leonora, l'héroïne, est attachante en garçon manqué dans ses
tribulations vénitiennes à la recherche de ses parents.
Que donnera la suite ?
Petit polar psychologique aux multiples rebondissements.
On assiste à un terrifiant face à face entre deux des
protagonistes. C'est aussi, une enquête vers la vie et le bonheur. Quête qui
verra l'amour prendre le dessus sur la folie, les mensonges, et, autres
manipulations... ...
C'est prenant, passionnant.
Les sentiments, les doutes des divers personnages sont
décrit dans un style clair, simple.
Un polar haletant, un suspense insoutenable dans lequel
l'auteur mêle, habilement, érudition, fausses pistes et retournements à
travers l'histoire religieuse et musicale de Venise.
Impossible d'en dire plus sabs dévoiler les tenants et
aboutissants de cette incroyable conspiration imaginée par Davis Hewson.
Une chose est sûre : une fois ce polar commencé, il est
carrément impossible de le lâcher, tellement c'est passionnant !!!
A lire absolument... ...
Marianne
Certes il ne peut pas nous laisser indifférent ! Quand j'ai
regardé l'épaisseur de ce bouquin (+de 600 pages) j'ai pensé... J'en ai pour
des mois à le lire !!! Et bien à ma grande et agréable surprise je l'ai lu
très vite et avec passion.
J'ai aimé ce parallèle entre notre époque contemporaine et
le XVIII° siècle à Venise. Des personnages presque à l'identique se
retrouvent dans les 2 époques, attachants
pour certains et monstrueux pour d'autres... comme si le temps de siècle en
siècle ne faisait que reproduire ce qui a déjà eu lieu...
Une fin qui surprend mais n'étonne pas non plus.
Et Venise est là dans les descriptions de l'auteur et
ajoute à l'ambiance générale, mon seul regret est que l'auteur est un peu
hanté par les odeurs nauséabondes des canaux... Mais il faut dire qu'au
XVIII° cela devait être vrai !
J'avais beaucoup de difficulté à
l'abandonner
Bref un excellent thriller pour moi que je vous recommande
Nicole
Au
départ vous avez le Campari, la San Pelegrino et le Prosecco. Au début on ne
sait pas vraiment quoi en faire puis les deux premiers s'accordent et on
finit par tout mélanger en un Spritz très réussi.
Cet
"Héritage" se boit tout seul.
Goutez y et
vous ne pourrez plus vous en passer jusqu'à la dernière goutte.
Une grande saga romanesque sous fond de Renaissance
italienne écrit de mains de maître par Yves Jégo et Denis Lépée.
Il y a bien sur, de l'amour, mais aussi une série de
meurtres plus mystérieux les uns que les autres, une incroyable
conspiration... ... ... Orchestrés par un Léonard de Vinci, machiavélique à
souhait !!!
On suit pas à pas les différents protagonistes un peu
partout en Europe (Paris, Bois le Duc, Londres, Rome, Venise)au travers de
leurs peurs, leurs colères, leurs magouilles, etc...
Roman historique et policier agréable, facile à lire.
Il est passionnant, prenant. A lire si on veut passer un
bon moment et se détendre...
Marianne.
J'ai été passionnée par cet ouvrage.
J'ai aimé l'histoire, les personnages, les nombreuses escapades en Europe et
ces curieuses intrusions à la peinture de l'époque à travers Bosch, Raphael,
Giorgione ou encore Léonard de Vinci dans un curieux rôle d'espion, de
manipulateur et finalement d'organisateur.
Une intrigue amoureuse vient agréablement détendre
l'atmosphère qui par moment est assez lourde. Nous n'avons jamais le temps
de nous ennuyer à la lecture de ce livre, car les rebondissements sont
nombreux.
Je vous le conseille fortement.
Nicole
Bon, il
se lit... C'est déjà quelque chose... Les auteurs ont visiblement surfé
sur la vague du Da Vinci Code mais une vague roule t'elle éternellement ?
Disons... Un bon roman de gare mais est ce toujours négatif ? Vous
devinerez qu'il m'a laissé un peu dubitatif et je ne peux m'empêcher
d'éprouver une certaine gêne au délirant mauvais rôle que les auteurs
attribuent aux peintres de cette époque...
J'ai trouvé ce roman bizarre du début jusqu'à la fin. Ce
face à face entre la Mafia et l'un de ses anciens membres est assez dur.
C'est à celui qui va doubler l'autre, le manipuler sans en avoir l'air...
... Cette manipulation (aussi bien utilisée par la Mafia que par le héros)
est subtile, voir même malsaine.
Ce roman est assez difficile à suivre, à comprendre, car
on se demande si le héros est rééllement fou ou non, si il tombe petit à
petit dans la folie ou non où, si il est sous l'emprise d'hallucinations
(hallucinations causées par toutes les drogues prises tout au long de sa
carrière au sein de la Mafia...)
En ce qui me concerne, même si je ai lu ce polar jusqu'au
bout, cela ne m'a pas emballé outre mesure...
Par contre, il y a d'excellentes descriptions de Venise.
Là, on s'y croirait !!!
Marianne.
Une ambiance toute particulière. Un
retour à Venise dans des conditions assez singulières, vont conduire un
homme à réfléchir sur son passé pas très glorieux en fait.
Quel rôle a-t-il joué autrefois au sein d'une organisation
et que va-t-il lui arriver dans sa ville retrouvée ? Des personnages assez
ambigus et sombres... Mais de belles balades dans Venise et en particulier
dans ce quartier de Castello proche de San Marco pour celui, ou celle qui
connaît bien Venise c'est un régal.
Mais comme le dit si bien Marianne c'est vraiment tout ce
qui fait le charme de ce livre qui est assez complexe et qui à la fin nous
laisse perplexe !!!
Nicole
Un bon suspense dans une Venise très bien décrite. J'ai
beaucoup aimé malgré une atmosphère assez inhabituelle et le long, un peu
trop long, rêve hallucinatoire de la fin du livre qui sent le vécu: J'ai
découvert après coup que l'auteur est psychiatre et n'en ai pas été étonné.
Je viens de terminer ce thriller et je dois dire que les
dernières pages m'ont été très pénibles. J'ai à la fois aimé et détesté ce bouquin. Au départ tout paraissait sympathique et même passionnant, surtout avec Venise en toile de fond.
En avançant dans ma lecture une atmosphère glauque et
pesante s'est alors présentée. Ce duel entre deux personnages, un jeune homme
ambitieux et un vieillard excentrique aussi cruels et malsains l'un que l'autre, ajoute à cette
ambiance bizarre.
Un critique a d'ailleurs dit de cet ouvrage qu'il avait le
suspense terrifiant d'un Hitchcock.
Je viens de terminer ce thriller et je dois dire que les
dernières pages m'ont été très pénibles.
A lire avec modération c'est ce que j'aurais envie de vous
dire, mais ne vous en privez pas car l'auteur par son originalité est une découverte qui certainement
fera parler de lui.
Nicole
Ce face à face entre les deux protagonistes est
assez terrifiant. Au fil des pages, on assiste à un duel sans merci entre
ces deux hommes. Lutte qui va les conduire pour l’un au meurtre et pour
l’autre à la mort.
Les deux héros sont aussi antipathique l’un que l’autre
car c’est à celui qui va manipuler/piéger l’autre à son profit … …
Malgré le malaise ambiant, je reconnais que ce polar est
plus que bien ficelé au niveau de l’intrigue.
C’est difficile de le laisser tomber même si il fait froid
dans le dos !!!!!!
Chaque volume présente une histoire différente ayant pour
héroïne, une
jeune détective amateur (Alice Roy) et ses deux amies (Bess Taylor er
Marion Webb).
Elles sont toutes les trois américaines. Un petit rien est
prétexte pour
se retrouver dans les ennuis jusqu'au cou, y compris lors de vacances à
Venise !!!
De multiples rebondissements tiennent en haleine les jeunes lecteurs
jusqu'au bout de l'enquête. Rien n'est épargné à Alice et ses amies :
tentative de noyage sur la personne d'Alice, enlèvement des trois amies,
etc., mais leur intelligence, leur débrouillardise, leur sens de
l'observation viennent à bout des différentes intimidations, et, les
mènent vers la victoire...
... Tout en visitant Venise !!!!!!
Petit
polar facile à lire. A partir de neuf/dix ans … …
Marianne.
Recommandable pour les plus jeunes. Et
pour les moins ? Passé le style "naïf" de l'écriture on se prend à
l'histoire, on ne fait qu'une bouchée de cette "verdure" et on retourne en
enfance !
Polar moyenâgeux décrivant une Venise noire, une Venise où il ne fait
pas bon vivre …
En effet, la ville est quasiment repliée sur elle même, elle est interdite
aux étrangers. La peur règne sur Venise. Celle ci est entretenue par la police, omniprésente dans la ville, en
répandant un climat de suspicion entre les Vénitiens. L’espionnage et surtout la délation se glisse partout dans Venise par
crainte des complots … …
Une mine d’alun (l’or noir) est l’enjeu de ce roman où l’on retrouve les
instincts les plus vils de l’homme
(avidité, ambition, désir, haine). Tous les moyens sont bons pour entrer en
possession de cet or noir, y compris le meurtre … …
L’action se déroule à la fois à Venise et à Rome où le héros est envoyé par
les représentants de l’Inquisition
vénitienne. Sa mission : élucider les meurtres, et, surtout se rendre auprès
du nouveau Pape afin que la
Sérénissime puisse continuer à entretenir des relations commerciales et
politiques avec Istanbul en toute
légalité !!!!!!!
L’auteur s’est inspiré de faits réels pour écrire un roman
passionnant de la première à la dernière ligne.
On referme ce polar avec beaucoup de regrets. De nombreuses anecdotes historiques
fourmillent tout au long du roman afin d’expliquer certains détails «obscures» pour le «profane»… …
Alors que le Carnaval bat son plein, l’auteur entraîne ses lecteurs dans
une lutte sans merci …
Un complot, organisé par une secte satanique, et, dont le but secret, est de
renverser le Doge, sème la terreur au sein du pouvoir en place … … en
éparpillant un peu partout dans Venise des morts atroces, inspirées par la Divine Comédie, et plus particulièrement
L’Enfer de Dante… …
Roman mené tambour battant grâce à une intrigue haletante …
Dès la première ligne, on a qu’une seule envie connaître le dénouement
tellement c’est passionnant.
Cela se lit d’une seule traite et c’est avec beaucoup de regrets que
l’on repose ce livre … …
Marianne
Certes j'ai bien aimé ce livre passionnant en effet, avec cependant, une
petite restriction sur la fin de l'ouvrage
où il y a quelques répétitions et longueurs qui sont inutiles à la
compréhension de l'ensemble.
Ecrit par un des maîtres du
roman policier à atmosphère, l’action de cet excellent polar, tourne autour
d’un mariage douteux, celui d’un Lord anglais et d’une Comtesse sortie de
nulle part,
des morts mystérieuses du Lord et d’un des domestiques du couple à Venise.
Alors qu’il est question au départ d’une simple
disparition et d’un banal décès pour maladie, on comprend au fil des pages qu’il s’agit en fait d’un double meurtre … …
… Qui l’a organisé ????
La fiancée bafouée ???? L’épouse abhorrée ???? Le frère de la Comtesse ????
Tous les ingrédients – apparitions fantomatiques, folie,
alchimie - sont présents pour que ce roman policier soit passionnant de la
première à la dernière ligne. Il se déroule en partie à Londres et à Venise
…
Fin XIVème siècle entre Londres et Venise, Sherlock Holmes, et, son
comparse, le Docteur Watson enquêtent
sur un étrange meurtre, celui du tout nouveau Consul Général anglais à
Venise.
Lors de leurs investigations, Sherlock Holmes et le Docteur Watson mettent
à jour un complot, vieux de plusieurs siècles, grâce à des portraits datant du XVIème
siècle… …
Mais, qui est visé par le complot ???? Venise ou la Reine Victoria ??????
Au lecteur de le découvrir en lisant ce roman où certains personnages
littéraires, comme
Sir HenryBaskerville et le Docteur Mortimer(Le
chien des Baskerville de Sir Arthur Conan Doyle),
et, le Docteur Jekyll et Mister Hyde
(L’Etrange cas du
Docteur Jekyll et Mister Hyde par Stevenson)
participent à l’intrigue à leurs corps
défendant !!!!!
Etant une inconditionnelle de Sherlock Holmes, j’ai trouvé ces nouvelles
aventures aussi passionnantes que
celles écrites par leur créateur Sir Arthur Conan Doyle…
L’action de ce polar, noir à souhait, se déroule dans la Venise de
l’après guerre (plus précisément en 1946).
C’est au milieu d’un petit groupe d’amis frivoles et désabusés, que se
déroule un véritable drame. Ces derniers évoluent dans une atmosphère
trouble, glauque. Les règlements de comptes et les non-dits y sont
monnaies courantes !!!!!!
En effet, l’histoire d’amour entre un jeune soldat
américain - spécialisé dans la chasse aux nazis, et, fraîchement
démobilisé - et, une jeune italienne - rescapée des camps - virent
rapidement au cauchemar !!!!!!
L’auteur propose un polar bien ficelé. L’intrigue se
dévoile au fil des pages afin de tenir en haleine le lecteur jusqu’à la
dernière ligne !!!!!
Marianne
Je dois avouer que ce
n'est pas trop mon genre de littérature habituel... Toute cette noirceur
qui émane de ce livre m'a vraiment impressionnée... Il se lit très
facilement et nous avons le plaisir de faire quelques belles balades dans
la Cité des Doges.
Le décor : février 1862, pendant l’occupation
autrichienne !!!!!
Lors d’un séjour à Venise, l’impératrice Sissi s’y
ennuie fermement. Mais, tout change lorsque deux meurtres sont
perpétrés dans un paquebot en provenance de Triestre ... Désirant
connaître la vérité à tout prix, Sissi prend les choses en main, et,
pousse le Commissaire Tron à poursuivre son enquête ...
Le présent polar a pour héros, un noble vénitien
ruiné, le Commissaire Tron. Obligé de travailler pour “gagner sa vie”,
Tron est un policier intelligent, têtu, sensible, incorruptible. Il
“adore” son métier, qui, lui permet de combattre l’injustice, et, de
rétablir la vérité lorsque celle-ci est détournée par certains... Tron
a, également, une fâcheuse tendance à fermer les yeux lorsqu’il
rencontre “quelques irrégularités” contre les autrichiens... En effet,
en bon vénitien, il ne rêve que d’une seule chose : le départ de
l’occupant autrichien !!!!!
Roman policier facile et agréable à lire, avec des
personnages attachants !!!!!!
Marianne
Marianne a bien
résumé ce livre je n'ai pas grand chose à ajouter. Certes, ce n'est pas de
la grande littérature, le roman idéal pour les vacances !!!
Attendons les suivants puisque paraît-il ce n'est que le
premier d'une série mettant en scène le Commissaire Tron, qu'il ne faut
absolument pas comparé à Brunetti de Donna Leon.
Il s’agit du 2eme opus des aventures du
Commissaire Tron, avec en toile de fond la politique, et, la raison
d’état.
En effet, au cours de son enquête, Tron est
amené à cotoyer, le Vice Roi de Lombardie et de Venise lui-même,
c'est-à-dire, l’archiduc Maximilien, en partance vers le Mexique afin d’y
être sacré empereur.
Crimes, complots, magouilles … … Tout est
bon afin d’abattre Maximilien, et, le faire passer un incapable.
Comme pour le 1er volume, c’est
facile et agréable à lire.
On retrouve avec plaisir les différents
personnages, et, en particulier le Commissaire Tron, qui, dans ce volume,
ne rêve que d’une seule chose, « étrangler » son supérieur
hiérarchique !!!!!
En effet, ce dernier, autrichien nommé
par le gouvernement de François Joseph, afin de surveiller la police
vénitienne, est l’archétype du fonctionnaire incompétent, imbu de sa
personne, etc.
Marianne
Lu aussi aussi avec
beaucoup de plaisir car très agréable. Le commisaire Tron est un personnage
qui plait et qui sait mener ses enquêtes avec fermeté malgré les difficultés
rencontrées avec sa hierarchie !
Le roman suivant n’est pas un chef-d’oeuvre de la littérature.
C’est un petit bouquin qu’il est possible de lire dans le train, le métro
ou la plage, et, que l’on oublie aussitôt finie.
C’est à la fois un roman policier et
fantastique avec une intrigue sans queue ni tête sur le thème de
l’immortalité, la réincarnation, etc.
Marianne
Toute une époque !
Si vous tombez dessus chez un bouquiniste ne le jetez pas: Ca se lit !
Heureusement c'est court..
Ce roman de Dibdin est d’une précision remarquable pour la description de la
cité lacustre, l'auteur même nous proposant en début une carte de la cité
pour ne pas nous perdre dans ses méandres.
Son héros le Commissaire Zen est un pur vénitien émigré à Rome, mais qui,
pour les besoins d'une enquête délicate va se retrouver dans sa ville
natale... Ses sentiments personnels vont interférer sur son enquête en nous
plongeant dans l'ambiance vénitienne totale !
Les canaux, les palais, les calli, la brume, tout y est. Avec en plus une
atmosphère inquiétante, angoissante, à la limite du sordide.
Iain
Pears, né en Angleterre, est historien d’art et romancier. Le Comité Tiziano est son deuxième roman consacré au
monde de l’art. On y retrouve cet étrange duo, l’anglais Jonathan Argyll,
expert en œuvres d’art, et, Flavia di Stefano, la romaine, inspecteur des
services du patrimoine artistique.
Une enquête difficile face
à une police locale peu efficace et surtout laxiste. Le Comité Tiziano se réunit tous les ans à Venise dans
le cadre enchanteur de la
Fondazione Giorgio Cini, vieux monastère de San Giorgio Maggiore
transformé en centre de conférence.
Iain Pears nous présente un commissaire vénitien,
Bovolo, qui est loin d’avoir les qualités et la finesse du Commissaire
Brunetti de Donna Leon. Bovolo, ne fait rien, étale sa nonchalance et son
incompétence d’un bout à l’autre de ce récit. De plus, il ne supporte pas
la présence de la Romaine Flavia, et, surtout n’accepte pas que “son”
enquête devienne celle de la police de Rome. C’est pourtant cette dernière
qui résoudra l’énigme... Venise, omniprésente dans le livre de Iain Pears,
ne nous apparaît pas dans ses plus beaux jours. Bien qu’écrit par un
Anglais, avec beaucoup de talent, on retrouve l’éternelle rivalité de la
Capitale et de la Sérénissime.
Nicole
Un bon roman
policier à l'atmosphère plaisante et qui se lit facilement.
