Résumé :
Léonie, la jeune épouse de Rorke Thorburn, vit à Venise auprès de Bérénice Montegano, la tante de son mari, cependant que celui-ci travaille à Milan, la semaine durant. Ce temps de vacances s'annonce heureux.
Or, voici que Léonie est victime, à plusieurs reprises, de singuliers accidents.
Accidents ou agressions ?
Agressions, affirme la jeune femme.
Mais qui, sous le ciel bleu de l'Adriatique, pourrait s'acharner contre la douce et amoureuse Léonie ?



N'est-ce pas ce que Charon, l'étrange inconnu aux yeux si clair, a laissé entendre à Léonie, la nuit de la Egatta, lorsqu'il l'a sauvée de la noyade ...
C'est à l'aube, un matin, que, dans les brumes de la lagune vénitienne, s'accomplira le destin de Léonie et de Rorke ...
Mon avis :
Auteur de romance à suspense, Anne Maybury (1910-1993) est le pseudonyme de Anne Arundel. De son vivant, elle fut très appréciée aux USA, et, est – du moins, en ce qui me concerne – une illustre inconnue.
L’intrigue de Brumes vénitiennes est cucul la praline ainsi que linéaire. On devine tout de suite le dénouement tant le fil conducteur de l’histoire est limpide.
Une romance de plage dans la lignée des Barbara Cartland et autres Danielle Steel dans laquelle il n’y a rien à comprendre, et, surtout qui fait passer tranquillement l’après-midi et/ou la soirée tout en l’oubliant rapidement une fois la lecture terminée.
