Mon avis :
Mirella la vénitienne se classe dans la lignée des romans de gare et/ou sentimental popularisé par la romancière anglaise Barbara Cartland et les éditions Harlequin par la suite.
On y retrouve tous les ingrédients ayant fait le succès de ce genre littéraire populaire : enlèvement, folie, amour contrarié, bons sentiments, etc.
Une lecture gnan-gnan, cucul la praline mais reposante, permettant ainsi de reposer les neurones fatigués si l'on accepte d'ouvrir et surtout de lire ce genre de roman qui n'apporte rien en soi, à part un peu de repos "intellectuel" dans un monde quelque peu agité.
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Pour information, Max-André Dazergues (1903-1963) est le pseudonyme d'André Compère, un romancier français pour la jeunesse ainsi que de science-fiction et de romans policiers.
En 1938, il reçut le grand prix de Lyon pour son roman Montée des Anges.
André Mad, Paul Madandre, André Madandre et André Star furent également des pseudonymes utilisés par Max-André Dazergues. Celui-ci publia près de cinq cent titres sous ces divers noms entre 1928 et 1963.
Pendant de longues années, on soupçonna Georges Simenon d'utiliser le pseudonyme de Max-André Dazergues. Ce dernier fut, en compagnie de confères romanciers, à l'origine de la carrière d'écrivain de Frédéric Dard.
