Le Forum de La Sérénissime

Chouette de chouette !!!!
Je dirais même mieux : YOUPI !!!!!!

En effet, le prochain Donna Leon va paraître dans tous les bonnes librairies de France et de Navarre ... ... le 15 fevrier 2012

Leon, Donna.- La Femme au masque de chair.- Paris : Calmmann Levy, 2012. (20,90€).

Résumé :
Un soir que la neige tombe sur la Sérénissime, une femme blonde juchée sur des hauts talons et enveloppée dans un manteau de fourrure croise la route de notre cher commissaire Guido Brunetti.

Elle s’appelle Franca Marinella, s’est fait remodeler le visage par un chirurgien peu adroit, cite Cicéron ou Virgile par cœur, et Brunetti est instantanément subjugué par cet étrange alliage d’intelligence, de culture et de beauté altérée par l’inconscience – comme sa Venise, décidément !

Qu’on songe à la pollution déversée dans les canaux, à ce complexe chimique géant installé aux abords de sa ville ! Aux ordures qui jonchent les rues de tout le pays, aux incinérateurs qui explosent dans tout le sud de l’Italie, à la Camorra qui s’enrichit de l’élimination des déchets !
Et Brunetti de se transformer en expert de l’environnement pour élucider le meurtre d’un routier…

Il me tarde............

Bon, ben, j'ai mon exemplaire depuis ce soir ... ...
Eh oui, je n'ai pas pu resister, et, j'ai filé dare dare à la Fnac en sortant du boulot !!!!

Alors? Alors? Un avis?
Pour les vacances, ça me changerait de Casanova..!

Pour le moment, il se trouve sur ma pile de bouquins à lire ... ... et, je l'attaque dès que je peux !!!!
En ce moment, je bosse pour le Comité de lecture qui va avoir lieu à la fin février dans ma bibliothèque annexe ... ...

Ouf !!!!!!
J'ai enfin arrêté mes choix, et, surtout lu les romans que je vais présenter mrdi matin au Comité de lecture !!!!!

Heu, ce soir, je crois que je vais attaquer le dernier Donna Leon (et, ensuite, direction les parents - heu le bouquin - qui l'attendent également avec impatience ... ... ... ... ...)

Toujours le plaisir de retrouver Brunetti. Comme d'habitude le rythme n'est pas flamboyant mais ce sont probablement ces plongées dans le quotidien et l'environnement ( Venise ! ) d'un commissaire de police au naturel qui en assurent la singularité.
Deux bricoles récurrentes me chagrinent cependant : Un roturier qui tutoie ses aristocrates beaux parents (est ce l'effet de la traduction française ?) et le toucher crayeux des pages de l'édition...