Nathalie Rheims

Ben maintenant, c'est à mon tour de vous faire "travailler" un peu avec cette nouvelle référence d'un roman
se déroulant en partie à Venise
Rheims, Nathalie.- Le Rêve de Balthus.- Paris : Fayard : Léo Scheer, 2004.(13,20€).
Résumé :
Léa, une jeune fille, se réveille en sursaut.
Dans l'immeuble en face, elle entrevoit, à peine éclairé, un grand tableau. Elle se lève et y distingue une scène qui est celle de son rêve.
Son père, disparu quelques mois plus tôt, lui répétait sans cesse : «Tout est dans Le Rêve de Balthus». Sur la toile, une jeune fille dort, allongée sur un canapé.
Penché au-dessus d'elle, une autre jeune fille tient à la main une rose jaune. L'endormie, sortie du sommeil et troublée, a l'impression de se contempler dans un miroir.
Une voisine frappe à la porte. Elle lui tend une photo où figure, en noir et blanc, le décor exact du tableau.
Alors, elle se décide à traverser la rue. Un inconnu l'attend dans l'appartement d'en face. Il dit qu'il cherche depuis des années la jeune fille à la rose.
Le lecteur, plongé comme Léa dans une «spirale sans fin», la suit à Venise, dans l'atelier de Balthus. Elle assiste à la réunion secrète d'un Cercle d'initiés qui veulent percer le secret de la vie éternelle.
Elle comprend que, dans une série de tableaux où figure un ange, réside sans-doute la clef de cette quête. S'il s'agit de remonter «l'horloge du temps», seul l'art a ce pouvoir fragile et miraculeux.
Ce livre semble inventer sa propre logique à mesure, entre onirisme et fantastique, avec un réel sens du suspense.




Rheims, Nathalie.- Le Rêve de Balthus.- Paris : Fayard : Léo Scheer, 2004.(13,20€).
Résumé :
Léa, une jeune fille, se réveille en sursaut.
Dans l'immeuble en face, elle entrevoit, à peine éclairé, un grand tableau. Elle se lève et y distingue une scène qui est celle de son rêve.
Son père, disparu quelques mois plus tôt, lui répétait sans cesse : «Tout est dans Le Rêve de Balthus». Sur la toile, une jeune fille dort, allongée sur un canapé.
Penché au-dessus d'elle, une autre jeune fille tient à la main une rose jaune. L'endormie, sortie du sommeil et troublée, a l'impression de se contempler dans un miroir.
Une voisine frappe à la porte. Elle lui tend une photo où figure, en noir et blanc, le décor exact du tableau.
Alors, elle se décide à traverser la rue. Un inconnu l'attend dans l'appartement d'en face. Il dit qu'il cherche depuis des années la jeune fille à la rose.
Le lecteur, plongé comme Léa dans une «spirale sans fin», la suit à Venise, dans l'atelier de Balthus. Elle assiste à la réunion secrète d'un Cercle d'initiés qui veulent percer le secret de la vie éternelle.
Elle comprend que, dans une série de tableaux où figure un ange, réside sans-doute la clef de cette quête. S'il s'agit de remonter «l'horloge du temps», seul l'art a ce pouvoir fragile et miraculeux.
Ce livre semble inventer sa propre logique à mesure, entre onirisme et fantastique, avec un réel sens du suspense.