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Véronique Olmi

MessagePosté: 17 Nov 2017 21:04
par Marianne
Cela ne se passe pas entièrement à Venise ... ...

Olmi, Véronique.- Bakhita.- Paris : Albin Michel, 2017. (22,90€).

Résumé :
Elle a été enlevée à sept ans dans son village du Darfour et a connu toutes les horreurs et les souffrances de l’esclavage.
Rachetée à l’adolescence par le consul d’Italie, elle découvre un pays d’inégalités, de pauvreté et d’exclusion.Affranchie à la suite d’un procès retentissant à Venise, elle entre dans les ordres et traverse le tumulte des deux guerres mondiales et du fascisme en vouant sa vie aux enfants pauvres.
Bakhita est le roman bouleversant de cette femme exceptionnelle qui fut tour à tour captive, domestique, religieuse et sainte.
Avec une rare puissance d’évocation, Véronique Olmi en restitue le destin, les combats incroyables, la force et la grandeur d’âme dont la source cachée puise au souvenir de sa petite enfance avant qu’elle soit razziée.

Re: Véronique Olmi

MessagePosté: 17 Nov 2017 21:05
par Marianne
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Re: Véronique Olmi

MessagePosté: 04 Déc 2017 14:55
par Marianne
Mon avis :
Biographie romancée d'une ancienne esclave soudanaise devenue religieuse.
Même si il ne s'agit pas d'un coup de coeur pour moi, même si ce roman m'a paru ardu par moment, et, qu'il m'a semblé également à la limite du documentaire - peut être dû au sujet ainsi qu'au style sec, impersonnel - je l'ai lu avec intérêt.
Il est vrai qu'à part le best sellers d'Alex Harley intitulé Racines, et, lu il y a déjà quelques années, je n'ai guère eu l'occasion de lire des ouvrages traitant de l'esclavage.
Ce fut aussi pour moi l'occasion de découvrir le destin incroyable de cette femme devenue - si j'ai bien compris - le symbole de l'esclavage, et, cela à son corps défendant.
Malgré un petit bémol concernant le style qui m'a quelque peu rebuté, Bakhita reste un excellent roman traitant d'un sujet "grave" : celui de la traite négrière et de l'esclavage.
Il s'agit d'un titre à lire, et, à découvrir, si tant soit peu, on s'intéresse au sujet c'est à dire celui des esclaves.