Marc Arno

Arno, Marc.- La gondole aux espions.- Paris : Fleuve noir, 1973.- (Fleuve noir ; 1049. Espionnage).
Résumé :
Une jeune morte mystérieuse, nue, dérive à bord d'une gondole sur la lagune de Venise.
Un groupe de gauchistes italiens attaque en pleine nuit un autre groupe de présumés fascistes.
A la mitraillette et au cocktail Molotov ! Trois morts.
astrophe et consternation remplacent le petit livre rouge ! Les victimes sont-elles aussi des gauchistes garantis bon teint.
Est-ce l'amorce d'un sanglant règlement de comptes au sein des groupuscules de l'extrême-gauche italienne ?
Mon avis :
Dans la lignée des romans policiers et/ou d'espionnage dit de gare paru à cette époque c'est-à-dire dans les années 60/70 dans lequel la lutte contre la mafia, les règlements de compte entre bandes rivales, sous couvert de la guerre froide, prédominent.
Dans le cas présent, Marc Arno (1937 - ?) propose une série de "coups fourrés" entre groupes de gauchistes rivaux utilisant surtout leurs poings que leurs neurones.
Ce n'est peut être pas de la grande littérature, l'intrigue - aux multiples rebondissements sans vraiment de liens entre eux - est peut être superficielle, c'est malgré tout facile et agréable à lire. Marc Arno est un auteur à découvrir si l'on ne le connaît pas. Du moins, à mon avis.
J'ai déjà lu quelques polars publiés par les éditions Fleuve noirs dans les années 60/70 et donc épuisés dans le commerce à ce jour, La gondole aux espions et celui que j'ai le moins appréciés.
Marc Arno (1937 - ?) :
Selon Henri Yves Marnet dans Le Dictionnaire des littératures policières, Marc Arno aurait été un dés nègres de Josette Bruce lorsqu'elle a repris la série des OSS 117 au moment du décès de mon mari.
Source : Wikipédia).

Résumé :
Une jeune morte mystérieuse, nue, dérive à bord d'une gondole sur la lagune de Venise.
Un groupe de gauchistes italiens attaque en pleine nuit un autre groupe de présumés fascistes.
A la mitraillette et au cocktail Molotov ! Trois morts.

Est-ce l'amorce d'un sanglant règlement de comptes au sein des groupuscules de l'extrême-gauche italienne ?
Mon avis :
Dans la lignée des romans policiers et/ou d'espionnage dit de gare paru à cette époque c'est-à-dire dans les années 60/70 dans lequel la lutte contre la mafia, les règlements de compte entre bandes rivales, sous couvert de la guerre froide, prédominent.
Dans le cas présent, Marc Arno (1937 - ?) propose une série de "coups fourrés" entre groupes de gauchistes rivaux utilisant surtout leurs poings que leurs neurones.
Ce n'est peut être pas de la grande littérature, l'intrigue - aux multiples rebondissements sans vraiment de liens entre eux - est peut être superficielle, c'est malgré tout facile et agréable à lire. Marc Arno est un auteur à découvrir si l'on ne le connaît pas. Du moins, à mon avis.
J'ai déjà lu quelques polars publiés par les éditions Fleuve noirs dans les années 60/70 et donc épuisés dans le commerce à ce jour, La gondole aux espions et celui que j'ai le moins appréciés.
Marc Arno (1937 - ?) :
Selon Henri Yves Marnet dans Le Dictionnaire des littératures policières, Marc Arno aurait été un dés nègres de Josette Bruce lorsqu'elle a repris la série des OSS 117 au moment du décès de mon mari.
Source : Wikipédia).
