Aurélie Wellenstein

Wellenstein, Aurélie.- La Venise des louves.- Paris : Drakoo, 2024.- (Fantasy).
Résumé :
Dans une Venise de fantasy ravagée par des attentats surréalistes, un rescapé et ses alliées dissimulées sous des masques de loup cherchent à comprendre qui sont les terroristes qui ont détruit leur vie. L'archipel des Gabbiani était un bel endroit avant que l'une de ses îles ne soit brusquement coupée des autres.
De celle qu'on surnomme désormais « l'île noire » viennent de mystérieux gondoliers. Ils sillonnent les canaux, exigeant des impôts exorbitants, et si les habitants ne se soumettent pas, un attentat ravage leurs quartiers de bombes surréalistes qui déforment, dispersent, désagrègent ou effacent leurs victimes.
Renzo, pianiste surdoué, a vu son bras effacé lors d'un attentat. Il a rassemblé autour de lui quatre femmes, elles aussi victimes de la bombe. Ils forment une nouvelle famille, une meute, cinq doigts d'une main d'acier. Cachés sous des masques de loup, ils n'ont qu'un objectif : accoster sur l'île noire en quête de vengeance... et de sens.
Mon avis :
Sous couvert d'un scénario sorti tout droit de l'imagination d'Aurélie Wellenstein, Emanuele Contarini propose de superbes illustrations magnifiant une Venise baroque, fantastique, et, cela malgré un synopsis un peu faiblard et léger.
L'atmosphère y est sombre, glauque, parfois sanglante. Les divers personnages, même si l'on sent qu'ils sont plein de bons sentiments, ont soif de revanche et surtout de vengeance devant les aléas de la vie. Ils donnent également l'impression d'être aigri et d'en vouloir à la terre entière.
A part ce petit bémol concernant le scénario, il est vrai que La Venise des louves se laisse lire. Ne serait ce que pour l'idée de plonger la tête la première dans une Venise fantasmagorique et surnaturelle. Parfois, ce n'est pas désagréable.

Résumé :
Dans une Venise de fantasy ravagée par des attentats surréalistes, un rescapé et ses alliées dissimulées sous des masques de loup cherchent à comprendre qui sont les terroristes qui ont détruit leur vie. L'archipel des Gabbiani était un bel endroit avant que l'une de ses îles ne soit brusquement coupée des autres.
De celle qu'on surnomme désormais « l'île noire » viennent de mystérieux gondoliers. Ils sillonnent les canaux, exigeant des impôts exorbitants, et si les habitants ne se soumettent pas, un attentat ravage leurs quartiers de bombes surréalistes qui déforment, dispersent, désagrègent ou effacent leurs victimes.
Renzo, pianiste surdoué, a vu son bras effacé lors d'un attentat. Il a rassemblé autour de lui quatre femmes, elles aussi victimes de la bombe. Ils forment une nouvelle famille, une meute, cinq doigts d'une main d'acier. Cachés sous des masques de loup, ils n'ont qu'un objectif : accoster sur l'île noire en quête de vengeance... et de sens.
Mon avis :
Sous couvert d'un scénario sorti tout droit de l'imagination d'Aurélie Wellenstein, Emanuele Contarini propose de superbes illustrations magnifiant une Venise baroque, fantastique, et, cela malgré un synopsis un peu faiblard et léger.
L'atmosphère y est sombre, glauque, parfois sanglante. Les divers personnages, même si l'on sent qu'ils sont plein de bons sentiments, ont soif de revanche et surtout de vengeance devant les aléas de la vie. Ils donnent également l'impression d'être aigri et d'en vouloir à la terre entière.
A part ce petit bémol concernant le scénario, il est vrai que La Venise des louves se laisse lire. Ne serait ce que pour l'idée de plonger la tête la première dans une Venise fantasmagorique et surnaturelle. Parfois, ce n'est pas désagréable.
