Agnès Martin-Lugand

Martin-Lugand, Agnès. - Les Renaissances. – Paris : Michel Lafon, 2025.
Résumé :
Il est des regards qui abîment, d'autres qui réparent...
À la faveur du comptoir d'un bistrot et du hasard, un homme et une femme font connaissance.
Rebecca est une romancière en mal d'inspiration qui voit sa vie lui échapper.
Lino, un artisan passionné d'histoire de l'art, rongé par son passé et sa quête d'absolu.
Enclin aux confidences, il se livre à elle avant de disparaître dans la nuit.
Fascinée par son histoire, elle se lance sur ses traces avec le projet fou de faire de lui le héros de son prochain roman.
Mon avis :
A la lecture des différents avis dithyrambiques lus un peu partout sur internet au sujet du dernier Agnès Martin-Lugand, je m’attendais à quelque chose d’exceptionnel.
Pour tout avouer, je ressors de ma lecture avec un sentiment mitigé. En effet, le bouquin se lit très facilement malgré quelques longueurs et redondances. Il est vrai que l’auteur décrit à la perfection diverses émotions que l’on peut ressentir lorsque l’on croise l’amour et/ou la passion, la mort et le deuil qui s’en suit ainsi que la résilience mais à force d’insister, de les répéter, cela joue sur le comportement et/ou la psychologie des personnages que cela en devient parfois lourd et lassant.
Même si ces derniers en jettent tout en désirant s’en sortir coûte que coûte malgré leurs caractères torturés, Les Renaissances n’a rien de transcendant et ne restera pas dans mes annales bien que l’auteur connaisse un certain succès tout en étant à la mode dans le petit monde de la littérature dite feel good.

Résumé :
Il est des regards qui abîment, d'autres qui réparent...
À la faveur du comptoir d'un bistrot et du hasard, un homme et une femme font connaissance.
Rebecca est une romancière en mal d'inspiration qui voit sa vie lui échapper.
Lino, un artisan passionné d'histoire de l'art, rongé par son passé et sa quête d'absolu.
Enclin aux confidences, il se livre à elle avant de disparaître dans la nuit.
Fascinée par son histoire, elle se lance sur ses traces avec le projet fou de faire de lui le héros de son prochain roman.
Mon avis :
A la lecture des différents avis dithyrambiques lus un peu partout sur internet au sujet du dernier Agnès Martin-Lugand, je m’attendais à quelque chose d’exceptionnel.
Pour tout avouer, je ressors de ma lecture avec un sentiment mitigé. En effet, le bouquin se lit très facilement malgré quelques longueurs et redondances. Il est vrai que l’auteur décrit à la perfection diverses émotions que l’on peut ressentir lorsque l’on croise l’amour et/ou la passion, la mort et le deuil qui s’en suit ainsi que la résilience mais à force d’insister, de les répéter, cela joue sur le comportement et/ou la psychologie des personnages que cela en devient parfois lourd et lassant.
Même si ces derniers en jettent tout en désirant s’en sortir coûte que coûte malgré leurs caractères torturés, Les Renaissances n’a rien de transcendant et ne restera pas dans mes annales bien que l’auteur connaisse un certain succès tout en étant à la mode dans le petit monde de la littérature dite feel good.
