
Lorsqu'il a été amené dans une clinique vétérinaire,le chat, âgé de huit mois, avait les pupilles dilatées et un rythme cardiaque accéléré. On ignore quand a eu lieu l’incident.
Initialement, les vétérinaires n'ont pas pu effectuer une prise de sang ou prendre la température du chat, qui était très agité et allait et venait sans cesse dans sa cage.
Le propriétaire a d'abord assuré que l'animal n'avait pas été exposé à des plantes toxiques, à de la nourriture avariée ou à de la drogue.
Mais son épouse, interrogée par téléphone par un journaliste du Gazzettino, a reconnu que le chat pourrait avoir léché "des assiettes de cocaïne" qui avaient été proposées aux convives lors d'un dîner.
Des tests ont ensuite montré, qu'en plus de la cocaïne, l'organisme du chat contenait aussi des benzodiazépines, des anxiolytiques.
Le propriétaire, "plein de remords" selon le journal, a été autorisé à ramener son chat chez lui. Selon la loi italienne, les vétérinaires ne sont pas tenus de reporter de pareils cas à la police.

