J@M a écrit: (On a quand même droit à un superbe lampadaire électrique en plein cadre au début du film: tsst tsst tssst..)
Ils sont, quand même doués, les contemporains de Vivaldi !!!!!



Modérateurs: Gilbert, Marianne, Nicole
J@M a écrit: (On a quand même droit à un superbe lampadaire électrique en plein cadre au début du film: tsst tsst tssst..)
J@M a écrit:Bof, bof, bof .... J'en sort ... Et bien les critiques sont fondées. Exemple:
Vivaldi, un prince à Venise de Jean-Louis Guillermou / Le Figaro
À Venise, au début du XVIIIe siècle, le jeune prêtre Antonio Vivaldi scandalise et inquiète son évêque quand il révèle son projet de monter un opéra. Professeur de violon dans un orphelinat et dispensé de dire la messe à cause d'une mystérieuse maladie, le compositeur ne rêve que de musique au détriment de son sacerdoce. Mais protégé par le pape Benoît XIII, encouragé par l'ambassadeur de France et estimé par l'empereur d'Autriche qui lui promet la direction de l'opéra de Vienne, il s'obstine tandis que ses adversaires lui prêtent une liaison avec une cantatrice.
Selon son auteur-réalisateur, le film se veut une redécouverte de la musique classique. Certes, il y a bien des intentions didactiques, pour ne pas dire un style scolaire, dans cette biographie abrégée du célèbre compositeur. Mais quand on a retiré la (somptueuse) reconstitution de la Venise de l'époque et de ses fêtes, la beauté des costumes et l'omniprésence de la musique de Vivaldi qui baigne tout le film au point de le noyer, il n'y a plus rien qu'une laborieuse et maladroite leçon apprise et récitée d'une façon trop appliquée.Avec une succession de scènes censées expliquer la malédiction qui entoure le musicien et des résumés biographiques récités par quelques protagonistes, le film n'est qu'un essai simpliste et lourdement enluminé. Et que dire de la composition de Michel Serrault qui nous fait ses adieux dans la soutane et les extravagances de l'évêque ? Sorte de guignol tragi-comique, grinçant et chuintant, se parodiant lui-même et allant jusqu'à jouer de la trompette pour transformer le prélat en clown ridicule, le comédien ne fait là qu'une visite fantaisiste à un film qui n'était pas pour lui. D'ailleurs, ironie sans doute volontaire, son personnage lance à Vivaldi comme s'il s'adressait à lui-même : « Vous ne pensez pas que vous en faites un peu trop ? » Le réalisateur, quant à lui, n'en a pas fait assez !
J'y rajouterai un doublage catastrophique de certains personnages et surtout la tristesse de ne pratiquement pas voir Venise elle même, ou si peu (On a quand même droit à un superbe lampadaire électrique en plein cadre au début du film: tsst tsst tssst..)
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