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©  Éditions Bénévent, 2010.

 

 

Eternellement vôtres !, tome 1 : Imbroglio vénitien

 Mireille Nadaud

Le présent volume est le premier tome d’une série qui ne présente aucun intérêt.

J’ai été déçue par ma lecture car l’intrigue part dans tous les sens, et, n’a (selon moi)  ni queue ni tête.

Même si j’ai lu ce roman très rapidement, je reconnais que j’ai eu du mal à suivre et/ou à comprendre le fil conducteur qu’a voulu développer l’auteur, et, par moment, je me suis demandé où elle voulait en venir.

Malgré ces réserves, je pense que cela peut plaire à certains.

 Marianne

 

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© Éditions Gallimard, 1974

(Folio ; 589).

 

Au-delà du fleuve et sous les arbres

 Ernest Hemingway

 

Ce roman, considéré comme un classique de la littérature américaine, a pour thème principal la mort. 

L’action se déroule à Venise, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. L’Europe pense ses blessures.  

On assiste surtout aux derniers jours de vie du Colonel Richard Cantwell, ancien officiel de l’armée américaine. Celui-ci, gravement malade, et, sentant sa fin proche, vit un ultime bonheur, à Venise, auprès de l’amour de sa vie, la jeune Comtesse Renata. Ce dernier sait qu’il va mourir, et, accepte son sort avec fatalité, sans amertume. Il prend la vie à bras le corps tout en s’efforçant de lutter contre le destin qui le condamne, et, essayant ainsi de reculer la date fatidique de sa mort, mais, malheureusement, celle-ci sera la plus forte. 

Ce roman est sombre, noir, et, le fait que l’intrigue se déroule en plein hiver ne rajoute rien à la morosité ambiante.

Malgré une certaine mélancolie, un certain accablement, un certain pessimisme, une note d’espoir s’échappe au fil des lignes grâce à « l’appétit de vivre des deux protagonistes ». 

En ce qui me concerne, j’ai énormément apprécié la lecture de ce roman d’Hemingway malgré la tristesse qui s’y dégage.

Je le recommande vivement.

 Marianne

 

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© Éditions  Livre de poche, 1994

(Livre de poche ; 494)

 

 

L’Arlequin de Venise

Odile Weulersse

Un petit roman historique à destination des jeunes lecteurs.

C’est léger, récréatif, rafraichissant, humoristique. Ce roman est à lire entre deux ouvrages plus sérieux si on désire se décontracter, et/ou passer un moment agréable après une dure journée de travail !!!!!

En ce qui me concerne, j’ai beaucoup apprécié ce titre d’Odile Weulersse qui m’a fait retomber en enfance. En effet, plus jeune, c’était un auteur dont je raffolais les romans, et, je me souviens d’avoir lu pratiquement tous ses titres !!!!!

 Marianne

 

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© Éditions Gallimard, 2011.

Trésor d’amour

 Philippe Sollers

 

Il y a de fortes chances pour que Trésor d’amour soit le premier et dernier Philippe Sollers que je lise.

En effet, j’ai abandonné rapidement la lecture de cet ouvrage tellement c’est hermétique pour moi. Cela part dans tous les sens, et, j’avoue ne pas comprendre où veut en venir l’auteur.

Mais je reconnais que Philippe Sollers possède de fervents admirateurs, et, que ses ouvrages plaisent.

 

 Marianne

 

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© Éditions Gallimard, 2009

(Folio ; 3878)

Un bonheur de rencontre.- Paris :

 Ian McEwan

C’est la première fois que je lis un roman de Ian McEwan, et, j’avoue que je suis ressortie quelque peu déconcertée par ma lecture. 

L’intrigue se déroule à Venise, et, met en scène deux couples : Colin et Mary qui s’ennuie ensemble, et, qui ne semble guère apprécier leur séjour à Venise ainsi que Robert et Caroline, un couple détonnant, et, apparemment unis

En fait, on assiste à un étrange huit clos entre ces deux couples que tout oppose, avant de basculer dans le sordide, et, le faits divers sanglant. 

Malgré tout, je reconnais que  ce roman ne m’a pas déplu car l’auteur décrit un jeu de la séduction, de la sensualité dans un style tout en finesse, sans tomber dans la pornographie et/ou l’érotisme. 

Ian McEwan est un auteur à lire et/où à découvrir.

 Marianne

 

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© Éditions Livre de poche, 2007

(Livre de poche ; 30852)

Noir est l’arbre des souvenirs, bleu l’air

 Rosetta Loy

 

Souvenirs d’adolescence de l’auteur qui ne m’ont guère intéressé, ni passionné.

Cet ouvrage ne présente aucun intérêt, et, est quelque peu ennuyeux.

Mais, il ne s’agit que de mon humble avis !!!!!

 Marianne

 

 

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© Éditions Gallimard, 2006

(Folio ; 1020)

 

Concert baroque.- Paris :

 Alejo Carpentier

 

L’action de ce court roman d’Alejo Carpentier se déroule dans la Venise du XVIIIème siècle, et, plus particulièrement pendant le Carnaval.

Il s’agit d’un hommage à la musique baroque. Alejo Carpentier s’exprime dans une écriture baroque, flamboyante, foisonnante où tout est possible, irréelle, incroyable …

En ce qui me concerne, j’ai eu un peu de mal à suivre, à comprendre le fil conducteur de cet ouvrage. Le mieux est de le lire afin de s’en faire sa propre idée.

 Marianne

 

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© Éditions Gallimard, 1974

(Folio ; 589)

Au-delà du fleuve et sous les arbres

 Ernest Hemingway

Ce roman, considéré comme un classique de la littérature américaine, a pour thème principal la mort.

L’action se déroule à Venise, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale. L’Europe pense ses blessures.

On assiste surtout aux derniers jours de vie du Colonel Richard Cantwell, ancien officiel de l’armée américaine. Celui-ci, gravement malade, et, sentant sa fin proche, vit un ultime bonheur, à Venise, auprès de l’amour de sa vie, la jeune Comtesse Renata.

Ce dernier sait qu’il va mourir, et, accepte son sort avec fatalité, sans amertume. Il prend la vie à bras le corps tout en s’efforçant de lutter contre le destin qui le condamne, et, essayant ainsi de reculer la date fatidique de sa mort, mais, malheureusement, celle-ci sera la plus forte.

Ce roman est sombre, noir, et, le fait que l’intrigue se déroule en plein hiver ne rajoute rien à la morosité ambiante.

Malgré une certaine mélancolie, un certain accablement, un certain pessimiste, une note d’espoir s’échappe au fil des lignes grâce à « l’appétit de vivre des deux protagonistes ».

En ce qui me concerne, j’ai énormément apprécié la lecture de ce roman d’Hemingway malgré la tristesse qui s’y dégage.

Je le recommande vivement.

 Marianne

 

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© Éditions Harlequin, 2010.

(Azur ; 2962)

 L’Amant vénitien

 Rivers Natalie

 

Un petit détour dans le monde aseptisé des éditions Harlequin dans lequel les divers protagonistes sont tous beaux, gentils … … y compris les méchants !!!!

Comme il fallait s’y attendre, l’intrigue est nunuche à souhait, lisse, légère, voire ultra light, mais, elle se déroule à Venise !!!!!

Enfin bref, c’est nul de nul !!!!!!

 

 Marianne

 

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© Éditions Serge Safran éditeur, 2011.

 

Nouvelles vénitiennes

Dominique Paravel

La première œuvre de fiction de Dominique Paravel est un recueil regroupant sept nouvelles mettant en scène des personnages réels et/ou fictifs.

Il y a une certaine cohérence dans la chronologie car le Moyen Age ouvre le bal pour se terminer au 20eme siècle après une petite incursion au 15eme, 16eme, 17eme et 18eme siècle.

L’auteur présente les portraits de sept personnages aux caractères bien trempés, et, que tout relie à Venise.

Cette dernière est le fil conducteur de ces nouvelles. Elle est omniprésente, voire même, par moment, étouffante. D’ailleurs, la majeur partie des protagonistes entretiennent des rapports difficiles avec la Sérénissime.

En effet, qu’ils soient fictifs comme Nicolo ou Julien Favier, réels comme Lorenzo Lotto, Veronica Franco, Andrea del Verrochio, chacun d’entre eux  « cultivent » une haine féroce, et/ou un amour exclusif (voire même de la jalousie) envers la Cité des Doges. C’est aussi l’occasion pour eux de faire une rétrospection sur leur vie afin de mieux comprendre, d’appréhender leur vie actuelle et future.

L’histoire de Venise est, également, évoquée dans chaque nouvelle. C’est l’occasion pour le lecteur (qu’il soit profane ou non envers la Sérénissime) de côtoyer, d’une manière vraiment agréable, la Grande Histoire qui a fait de Venise ce qu’elle est aujourd’hui c'est-à-dire une ville éternelle au point de vue artistique (sculpture, peinture), architecturale, musicale, etc... ainsi qu’au passé grandiose.

En ce qui me concerne, j’ai adoré ce petit recueil de nouvelles, et, je le recommande à tous, que l’on soit ou non admirateur de Venise.

 Marianne

 

 

J’ai beaucoup aimé. Et ce n'est pas parce-que Dominique Paravel est Lyonnaise. Quoique...

C'est bien écrit. Les histoires sont bien contées. J'ai adhéré.

J@M

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© Éditions Christian Bourgeois éditeur, 2011.

 

Stabat Mater

Tiziano Scarpa

Roman sous forme de journal intime.

Cécilia, pensionnaire du célèbre orphelinat situé à l’hospice de la Piéta, est l’auteur de ce journal entièrement adressé à sa mère qu’elle ne connait pas. Cette mère inconnue est au cœur de l’imaginaire de Cécilia. Tout en espérant qu’elle vienne la retirer de l’orphelinat, Cécilia se pose des questions sur elle, sur les raisons qui l’ont poussé à abandonner la jeune fille à la naissance. 

Malgré tout, l’amertume et une certaine rancœur se dégage rapidement au fil des pages.

On se rend compte également que Cécilia admet difficilement son statut d’orpheline, et, bascule petit à petit dans la folie en s’inventant une amie, une mère de substitution en la personne de la mort avec qui elle dialogue et prends conseils.

Son amour de la musique et surtout l’admiration, la dévotion qu’elle voue à Antonio Vivaldi, alors tout jeune musicien, n’arriveront pas à la sauver de ses démons.

Cet ouvrage est aussi un vibrant hommage que l’auteur rend à Antonio Vivaldi (sans oublier non plus, les jeunes orphelines qui ont fait la renommée de la Piéta par leurs talents). En effet, Tiziano Scarpa est un fervent admirateur du prêtre roux.

Autour de Vivaldi et de Cecilia évoluent une foule de personnages avec en toile de fonds, la présence de l’Hospice de la Piéta dont la principale mission était de recueillir les jeunes orphelines puis de les former afin d’en faire des musiciennes accomplies.

En ce qui me concerne, j’ai beaucoup apprécié la lecture de ce court roman. Celui-ci est poignant, émouvant tout en alternant tristesse et note d’espoir, et, surtout il y a Vivaldi et sa musique que l’on entend en boucle dans sa tête tout au long de la lecture de ce bouquin.

Marianne

 

 

J'avais été dubitatif sur les éloges de "Venise est un poisson" du même Scarpa. Par contre j'ai beaucoup aimé celui là.

Ce journal d'une pensionnaire de la Pietà qui tente de faire vivre une mère qu'elle n'a pas connue est très bien rendu.

Il est d'ailleurs étonnant que ce ne soit une femme qui en soit l'auteur.

J@M

 

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© Éditions Albin Michel, 1997.

 

Un amour secret

Barbara Taylor Bradford

Même si je préfère de loin L’Espace d’une vie, je reconnais que le présent titre est plaisant  à lire.

C’est gentillet, reposant, récréatif, etc.

Il est vrai que l’on passe un agréable moment lors de la lecture de ce roman d’amour avant d’aller voir autre chose une fois la dernière ligne lue.

Cet ouvrage est à lire si l’on veut « décompresser » un peu, se changer les idées et/où faire une petite coupure en cas de « fatigue intellectuelle » ou de surmenage.

 Marianne

 

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© Éditions Presses de la cité, 2010.

 

 Au jour le jour

 Danielle Steel

 

Ce roman dit de plage est plaisant, délassant.

C’est le genre de bouquin qui permet de s’évader, d’évacuer ses soucis, mais, qui s’oublie rapidement une fois la dernière ligne lue.

Sinon, l’intrigue est reposante, simple, facile à comprendre comme tout roman d’amour qui se respecte … …

A lire par curiosité si on ne connait pas le genre littéraire, et, si l’on désire se détendre un moment.

 Marianne

 

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© Éditions La Grande Ourse, 1951.

 

 

Corinne ou les voluptés vénitiennes

 Max Meriel

Il s’agit, à la fois, d’un roman historique et d’espionnage se déroulant dans la Venise des années 1797.

J’ignore qui est Max Meriel, mais, il semble connaître sur le bout des doigts la Révolution française, la Campagne d’Italie menée d’une main de maitre par Bonaparte ainsi que les tractations secrètes entre la République de Venise et Louis XVIII afin de rétablir la Monarchie en France.

C’est dommage que ce roman soit épuisé dans le commerce car l’auteur mène d’une main de maitre une intrigue haletante, captivante dans une Venise décadente, livrée au libertinage.

En fait, Venise n’est plus que l’ombre d’elle-même, et, ses habitants (qu’ils soient pauvres, riches ou puissants) ne pensent qu’aux plaisirs du jeu et de la chair tout en essayant d’imiter leurs illustres ainés (diplomates, militaires, hommes politiques, etc.) qui ont fait la gloire de la Cité avant de se faire avoir, en beauté, par Bonaparte, alors obscur petit général !!!!

Outre le fait d’être un excellent bouquin d’espionnage, c’est aussi l’histoire d’une vengeance, celle de l’héroïne, qui par dépit amoureux, se sert de son corps pour assouvir sa haine des hommes afin de mieux les manipuler et les asservir.

Même si il y a un certain érotisme sous jacent, c’est un ouvrage qui mérite d’être connu. En ce qui me concerne, je l’ai dévoré en quelques jours !!!!

 Marianne

 

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© Éditions Naïve, 2011.

 

 

Eaux lentes sur Venise

 Françoise Cruz

 

L’action se déroule dans la Venise du XVIIIème siècle.

Décadente au point de vue politique et commerciale, Venise est le « centre du monde » dans le domaine des arts avec des artistes tel que Vivaldi en ce qui concerne la musique. 

L’institution religieuse de La Piéta est le cœur de ce court roman. Sous l’impulsion des différents maîtres de musique qui se sont succédé, et plus particulièrement sous la baguette du plus célèbre d’entre eux – Vivaldi pour ne pas le nommer – La Piéta, qui recueille et élève les orphelines/pupilles de Venise, forme les meilleures musiciennes du moment. 

C’est aussi l’histoire d’une amitié forte entre Leona et Clemenzia, les deux héroïnes de Françoise Cruz. Par l’intermédiaire de ces deux jeunes filles, on assiste à la vie quotidienne des pensionnaires de la Piéta ainsi qu’à celle des Vénitiens du XVIIIème siècle.

Bien que régit par un règlement draconien, la vie à la Piéta se déroule dans la joie et la bonne humeur, (si on peut parler ainsi car souvent ces jeunes filles ne connaissent pas autre chose), avec son lot d’intrigues, de jalousie, de drames.

C’est aussi l’occasion pour celles ci de découvrir l’amour, la vie à « l’extérieur » de tout en essayant d’atteindre un unique but : devenir la meilleure cantatrice et/ou musicienne. Que ces sorties soient officielles (lors de concerts) ou clandestines (après avoir fait le mur), c’est tout un monde plein d’imprévus, semé d’embuche qui s’ouvrent à elles.

 Marianne

 

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© Éditions Passionata, 2010

(Passionata ; 0018)

 

 

Le Masque vénitien

 Lynn de Saint-Pierre

D’une manière générale, les romans à l’eau de rose n’ont jamais brillé par leur niveau intellectuel, mais là, cela dépasse les bornes !!!!!! C’est d’une bêtise, mais, une bêtise  indescriptible !!!!!!

A côté de cette nullité incroyable, les romans de Barbara Cartland sont de véritables petits chez d’œuvre (et pourtant, je n’apprècie guère Barbara Cartland).

Je déconseille vivement ce roman !!!!!

 Marianne

 

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© Éditions Rageot, 2005

(Rageot récit ;  111).

 

Rendez-vous à Venise

 Eva Prud’homme ; Olga Prud’homme-Fargue

Ce recueil, qui s’adresse en priorité aux jeunes lecteurs (à partir de 12 ans), mais, pouvant également être lu par les plus grands, comprend dix nouvelles.

Ces dernières s’articulent autour d’un thème particulier tel que l’aqua alta de novembre 1966, l’épidémie de peste de 1576, Goldoni, le ghetto, etc.

On sent de la part des auteurs que les auteurs savent de quoi elles parlent, et, qu’elles possèdent une connaissance profonde de Venise ainsi que de son histoire.

Bien que fictives, ces différentes nouvelles s’inspirent toutes de faits réels.

On remarquera un encadré explicatif à chaque fin de récits. Celui çi apporte des précisions, des explications sur des faits historiques qui se sont déroulés au moment où se déroule la nouvelle.

C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lu ce recueil. Je le recommande vivement si l’on veut passer un moment agréable.

Petit information, Eva Prud’homme est également l’auteur du Testament du Titien.

 Marianne

 

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© Éditions Art-Access, 2010.

(Collection Livre d’1 Heure)

 

 

Un chat à Venise

Fiorella Giovanni

Un récit de 80 pages environ qui s’adresse en priorité … … … … … aux amoureux des chats.

En effet, Charles, le héros, est un authentique matou parisien, qui un jour, décide de découvrir Venise sans son 2 pattes attitré !!!!!

Et c’est le début d’une visite hors des sentiers battus de Venise.

Petit détail qui a son importance, Charles est un matou homme puisqu’il est doté de la parole, il est observateur, intelligent, social, engage la conversation aussi bien avec ses congénères les chats qu’avec les 2 pattes, parle couramment le français et l’italien, etc.

Au travers les moustaches – heu pardon, les yeux –  d’un p’tit chat, mille et une scènes de la vie quotidienne vénitienne ainsi que des anecdotes sont  décrites/expliquées par l’auteur. Il flâne, parcourt d’une patte – voire d’une moustache - nonchalante les différentes calli, campo et autres ponts, utilise avec appréhension les gondoles tout en jetant un regard admiratif sur les différentes merveilles qu’il a l’occasion de visiter. 

Et comme notre matou débarque à Venise en plein carnaval, c’est l’occasion pour lui de découvrir les différents masques déambulant dans les calli, dans les campo, et, surtout d’assister au bal qu’organisent, (dans un lieu tenu secret), chaque année, les chats de Venise, lors du Carnaval.

En bon matou qui se respecte, Charles s’intègre à la vie vénitienne, entre/se faufile dans les lieux qu’il désire. Il est, également, bichonné, chouchouté par la population locale … …

En bref, c’est facile à lire.

Ce récit, que l’on peut aussi qualifier de conte, n’apporte que du bonheur, beaucoup de fraicheur dans un monde souvent noir, et, c’est aussi une manière originale de découvrir un lieu, un endroit …

On l’aura compris, c’est à lire de toute urgence !!!!

Marianne

 

 

J'ai moi aussi bien apprécié ce petit opuscule. Le chat qui déambule dans Venise nous fait découvrir avec la ville.

L'auteur(e) a sans doute une très bonne connaissance de Venise car toutes ses descriptions de la cité sont exactes.

A lire avec délice !

Nicole

 

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© Éditions Fayard, 2010.

 

Etrangers

Anita Brookner

 

Le thème principal de ce roman est la solitude, la vieillesse ainsi qu’un certain sentiment d’échec de la part du héros que se soit dans sa vie privée ou dans sa vie professionnelle.

Vieux garçon -  sans famille proche, sans amis - Paul Stugis traine son ennui, sa solitude dans une retraite qu’il n’arrive plus « à meubler », et, qui s’étire en longueur après avoir occupé un poste dans une banque qui ne l’intéressait guère …

Tout au long du roman, on sent qu’il ne sait pas quoi faire de ses journées, qu’il se lasse de tout, et, surtout qu’un certain malaise, voire même de la peur s’empare de lui lorsque le moindre changement vient bouleverser son train quotidien.

Malgré tout, le roman d’Anita Brookner se termine par une note d’optimiste puisque Paul Sturgis prend sont son destin (en fait, le peu de temps qu’il lui reste à vivre) en main pour partir de l’avant, et, peut être ne pas finir sa vie seul.

Pour information, Venise n’est présente que dans un seul chapitre, tout en début de roman, et, on peut dire qu’elle a un effet catalyseur sur la destinée du héros.

En ce qui me concerne, cela m’a bien plu même si parfois, j’ai trouvé ce roman pas facile à lire.

Marianne

 

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© Éditions du Préau, 2010

 

Sombre lagune

Valérie Bettencourt

Sombre lagune est un roman d’anticipation, voire même ésotérique sous fond d’écologie, mais aussi, de réflexions philosophiques sur le thème de l’amour et de la mort.

C’est aussi une quête intérieure que mène, chacun à leur façon, les différents personnages évoluant au fil des pages de ce roman.

L’auteur y imagine un monde où la nature reprend ses droits. En effet, on assiste aux dernières heures d’existence de Venise grâce à ces quelques hommes et femmes qui ont choisi volontairement de mourir en même temps que leur ville "adorée". Ceux ci sont cyniques, désabusés, fatalistes, et, surtout suicidaires.

Bien que le roman se termine par une note pessimiste, c'est-à-dire la mort inéluctable de Venise, la vie et l’amour triomphent entre les deux héros principaux.

Quoiqu' un peu déroutant au début, ce roman ne m’a pas déplu.

Il a l’avantage de se lire facilement, et, surtout rapidement.

Marianne

 

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