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©  Éditions Actes Sud, 2012.

 

Agla : Le Premier évangile

Alain  Le Ninèze

 

Roman historique s’appuyant sur des faits, des événements réels, et, qui se lit comme un roman policier.

L’auteur entraine ses lecteurs, à la suite de Guillaume Postel dans sa quête des manuscrits anciens, des évangiles apocryphes. Cette recherche le mènera de Constantinople à Rome, en passant par Vienne, Londres et Venise.

Alain Le Ninèze en profite,  par l’intermédiaire de la figure emblématique de l’érudit Guillaume Postel, pour brosser le portrait de la société française et européenne à l’époque de la Renaissance, et, pour développer les idées, la philosophie humaniste avec la découverte des auteurs anciens par les intellectuels de toutes nationalités ainsi que de la médecine, l’astronomie, etc.

C’est aussi le moyen de découvrir tout le petit monde des libraires imprimeurs, qui - parfois au péril de leur vie, pour les livres « mis à l’index » - acceptèrent d’imprimer les ouvrages des écrivains, des savants, des astrologues, des alchimistes, et, autres illuminés en tout genre.

En ce qui me concerne, j’éprouve toujours un peu de mal à lire des ouvrages (documentaires et / ou romans) traitant de l’humanisme car c’est un domaine pas facile d’accès, mais dans le cas présent, j’avoue avoir littéralement dévoré le roman d’Alain Le Ninéze.

En effet, c’est écrit dans un style simple, limpide, clair, et, l’auteur se met à la portée de ses lecteurs afin d’expliquer des théories, des idées pas évidentes du tout, tout en réussissant à captiver ses lecteurs, et, en donnant envie d’en savoir plus sur la Renaissance et l’humanisme qui a brillé en France et en Europe.

Je ne peux que conseiller ce roman qui devrait plaire au plus grande nombre, même si l’on n’est pas très fort en histoire !!!

Marianne

 

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©  Éditions Librairie Hachette et Cie, 1904.

 

 

La Gondole fantôme (1797)

Geoges - Gustave Toudouze

illustré de 52 gravures par Volgel

 

Roman historique et d’aventure se déroulant à Venise, en 1797, au moment de la Campagne d’Italie, et, peu de temps avant l’arrivée du Général Bonaparte à Venise.

Complots, trahisons, spoliations d’héritage sont au rendez vous de cet « énorme  pavé » écrit par Georges-Gustave Toudouze en 1904, mais cela, pour notre plus grand plaisir.

En effet, on ne s’ennuie pas un seul instant tant les rebondissements sont nombreux.

Comme dans tout roman d’aventure qui se respecte, on retrouve la lutte entre le bien (incarné comme de juste par des héros jeunes, beaux, purs, sans peur et sans reproches, etc.), et, le mal (c'est-à-dire des meurtriers sans foi ni loi, vils, avides d’argent et d’honneur, etc.), pour finir, après une lutte acharnée, par une victoire amplement méritée pour les gentils héros.

En ce qui me concerne, j’ai lu avec beaucoup de plaisir et d’intérêt ce roman de Georges-Gustave Toudouze, un romancier que j’ai découvert avec ce titre. J’y ai passé de bons moments de lectures en compagnie des divers protagonistes qu’ils soient gentils et/ou méchants, ainsi que les soldats de la Grande Armée que l’on accompagne durant la Campagne d’Italie, notamment pendant les batailles d’Arcole et de Rivoli, et, je n’ai eu de cesse de continuer ma lecture afin d’en connaître le plus rapidement possible le dénouement, même si je l’avais plus ou moins deviné !!!

 Marianne

 

Édouard Henri Georges Toudouze, né à Paris (IXe) le 22 juin 1877 et mort le 4 janvier 1972 à  Paris (VIIIe), est un romancier, auteur dramatique, historien et journaliste français. Il écrivit sous le pseudonyme Georges-Gustave Toudouze ou Georges-G. Toudouze, sans doute en hommage à son père, le romancier Gustave Toudouze.

Georges-Gustave Toudouze était pensionnaire de l’Académie de France à Rome, membre de l’Académie de Marine, membre de l’Ecole française archéologique d’Athènes, professeur d'histoire, du théâtre et du costume au Conservatoire national de Paris.

Il est le créateur de la série de romans pour la jeunesse Cinq jeunes filles, première série française de l’Après Guerre.

 

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©  Éditions Bragelonne, 2003.

 

Le Dragon de Lucifer

Jon Courtenay Grimwood

 

Lu, il y a un petit moment déjà, je n’en ai pas gardé un souvenir impérissable.

Je peux dire, voire affirmer, que je me suis ennuyée à suivre les aventures, et, autres mésaventures des différents personnages imaginés par l’auteur dans la « réincarnation » de Venise au beau milieu du Pacifique.

C’est un roman qu’il vaut mieux éviter si l’on n’apprécie pas la science fiction, mais, les accros à ce genre littéraire, quant à eux, apprécieront sûrement.

 Marianne

 

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©  Éditions Seuil, 2012.

 

Les Aventures du Capitaine Alatriste, tome 7 : Le Pont des Assassins

 Arturo Perez-Reverte

Un bon roman de capes et d’épées qui devrait ravir les amateurs du genre.

Ce récit fourmille de détails historiques. On sent que l’auteur a passé des heures à se documenter afin de replacer l’intrigue dans son contexte, et, ceci à la virgule près.

Il s’agit de la septième aventure du Capitaine Alatriste, et, même si il est fait de nombreuses références aux aventures antérieures du Capitaine Alatriste, chaque titre de la série est indépendant, et, peut donc se lire séparément.

En ce qui me concerne, je mettrais un petit bémol sur cet ouvrage. Même si cela  m’a bien plu, j’avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l’histoire. En effet, pour un roman de capes et d’épées, cela manque un peu de souffle, voire de rebondissements, et, c’est un peu trop linéaire, trop prévisible à mon goût.

Il y a, également, d’excellentes descriptions de Venise en hiver, et, surtout de la Venise du XVIIème siècle. Sinon, c’est à lire si l’on aime les romans historiques et/ou d’aventures.

Marianne

 

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©  Éditions Robert Laffont, 2005.

 

Matthias et le diable

 Gérald Messadié

Roman historique (et/ou conte philosophique) lu en diagonale, et, qui propose une version personnelle de l’auteur sur le mythe de Faust.

Ce n’est pas mal, mais pour moi, ce c’est pas la meilleure interprétation de la légende de Faust, du moins parmi celles que je connais.

C’est un peu long, et, un peu trop répétitif à mon goût. Malgré ces petites réserves concernant ce titre, Gérald Messadié reste un romancier que j’apprécie énormément.

 Marianne

 

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©  Éditions La Tour Verte, 2009.

(Pierres de Lunes)

Manières noires

Robert de Laroche

Ce recueil de 12 nouvelles (dont 4 se déroulent à Venise) devrait ravir les amateurs de fantastique.

Au fil des mots, des pages, une atmosphère glauque, sombre se dégage, et, on ne peut empêcher un frisson parcourir l’échine tellement l’inquiétude, voire un peu de peur s’insinue peu à peu au  travers les pores de la peau.

Si on aime ce genre littéraire, à lire avec délectation, et, surtout sans modération.

 

Marianne

 

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©   Ma éditions , 2012

(Pôle Roman ; 4282).

 

La Sage-femme de Venise

Roberta Rich

J’ai passé un excellent moment en compagnie de ce roman historique se déroulant dans la Venise du XVIème siècle.

Je reconnais que ce titre est facile à lire, que l’on entre bien dans l’histoire, l’intrigue est passionnante dès le départ, et, cela jusqu’à la fin.

Pour tout avouer, il m’a été impossible de lâcher ma lecture, et, j’ai dévoré ce bouquin en un après midi !!!

Même si la trame est classique, banale, j’ai beaucoup apprécié les histoires parallèles, voire les luttes d’Hannah et de son mari Isaac pour se retrouver, symbolisant ainsi l’amour et la fidélité conjugal ainsi que la description du Ghetto, de la haine qu’éprouvait les chrétiens envers les juifs, et, celle du métier de sage femme, (métier qui ne devait pas être évident à l’époque, mais, qui convient parfaitement à Hannah grâce à son amour de son prochain, de sa conscience professionnelle, etc.), qui n’est guère évoqué dans les romans, qu’ils soient historiques ou non.

Enfin bref, La sage femme de Venise est un roman que je recommanderais volontiers si l’on désire se détendre

 Marianne

 

Si vous aimez les belles histoires, je vous invite à lire ce roman...

bien écrit, bien construit et qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière ligne...

Gargatto

 

L'héroïne est attachante  et son mari sympathique . On a une  bonne description de la condition des juifs de ce temps là ainsi que des problèmes des gens capturés. Par contre ce qui me dérange ce sont les fameuses cuillères ( ancêtres des forceps ?) non stérilisées .Toutes ces manœuvres obstétricales sans asepsie  devraient aboutir , sans  aucun doute ,à une endométrite  suivie par un abcès et ou une septicémie fatale aux parturientes .

Anne-Marie

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©  Éditions Héloise d’Ormesson, 2012.

 

Une année à Venise

Lauren Elkin

J’avoue que ce petit roman sentimental est fort agréable  à lire. Il ne me laissera peut être pas un souvenirs imperissable, mais, je reconnais avoir passé un excellent moment de lecture en compagnie des différents protagonistes évoluant au fil des pages.

Outre une intrigue amoureuse classique, voire même banale, l’auteur imagine une petite intrigue policière  concernant un lieu insolite. Lequel ? Le mieux est d’ouvrir les pages de ce roman afin de suivre les pérégrinations de l’héroïne dans sa découverte de la Cité des Doges.

A lire si l’on veut oublier ses soucis pendant quelques heures.

 Marianne

 

J'ai passé un excellent moment à la lecture de ce petit livre bien sympathique.

L'ambiance de Venise est bien présente et les personnages attachants.

L'histoire amoureuse de l'héroïne est sans surprise. Par contre l'intrigue "policière" bien menée nous entraine dans des lieux mystiques et magiques qui nous font rêver et dire "Et si cela était possible"... Que nous cache encore La Sérénissime ?

Je vous le recommande car il ouvre la porte à votre imaginaire sur les "trésors cachés" de Venise.

Nicole

 

Les descriptions de Venise sont intéressantes. Côté intrigue c'est mince et cela s'apparente à un roman Harlequin. Une belle jeune femme tombe amoureuse d'un vénitien gondolier caractériel et plein de problèmes. Finalement   tout s'arrange à la fin .  En fait l'intrigue n'est pas importante  car  elle sert juste à permettre d'évoquer Venise.

Anne-Marie

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©  Éditions L’Harmattan, 2011.

 

Le Condottière du Rialto, tome 1

 Jacques Rouvière

J’avoue avoir été agréablement surprise en lisant ce roman découvert tout à fait par hasard.

Je l’ai lu pratiquement d’une seule traite tellement j’ai été « prise » par les mésaventures de Vittorio Bagutti. Je ne me suis guère ennuyée lors de ma lecture, et, c’est avec beaucoup de regrets que j’ai refermé ce bouquin.

J’espère vivement que Jacques Rouvière écrira, et, surtout publiera la suite des aventures de Vittorio Bagutti. En effet, on reste sur sa faim tout en se posant de nombreuses questions concernant l’avenir de Vittorio, héros charismatique de ce récit.

En ce qui me concerne, je  recommande vivement la lecture de ce roman historique.

 Marianne

 

 

Comme Marianne j'ai beaucoup apprécié cet ouvrage qui nous fait passer un moment très agréable.

J'espère qu'une suite verra le jour sinon on a une impression de "non fini" et c'est dommage !

Nicole

 

 

Un trajet en train vers Venise à occuper ? En compagnie du Condottiere vous ne le verrez pas passer...

J@M

 

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©  Éditions Ed. de Noyelles, 2008.

 

Le Livre d’Hanna

Geraldine Brooks

En ce qui me concerne, j’ai trouvé la quête menée par l’héroïne longue et fastidieuse.

Est-ce le contexte qui a fait que je me suis quelque peu ennuyée, et, que par moment, j’ai décroché complètement avant de reprendre difficilement le fils de l’intrigue, c’est bien possible.

Dommage car le sujet était prometteur, et, ne pouvait que m’intéresser puisque le véritable héros de ce roman est un livre, et, plus particulièrement un manuscrit hébreu (le haggada de Sarajevo) qui, si j’ai bien compris à réellement existé.

Petite précision, un seul chapitre se déroule à Venise.

 Marianne

 

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©  Éditions Finitude, 2011.

Adieu à ce qui vient

 Pierre Cendors

Le mythe de Psyché et d’Eros revue et corrigée par Pierre Cendors. Celui ci est transposé à Venise, à une époque indéterminée.

Ce roman n’est guère évident à aborder à celui et/ou celle qui ne connais pas la mythologie grecque, et, notamment le récit légendaire de l’amour unissant Psyché à Eros.

Même si j’ai été, parfois,  quelque peu désorientée, voire avoir un peu de mal à suivre la trame principale de l’histoire, j’avoue que ce roman ne m’a pas déplut, et, m’a agréablement surprise.

 

 Marianne

 

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©  Éditions France Europe éditions, 2012.

 

L’Ultime rêve de Venise

André Frédéric Vignol

J’ai lu en diagonale les deux premiers chapitres avant de refermer définitivement ce roman que je trouve sans intérêt.

Je le déconseille vivement.

Du moins, c’est mon humble avis !!!

 Marianne

 

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©  Éditions La Tour Verte, 2012

 

 

Méphisto vit toujours à Venise

 Robert de Laroche

Robert de Laroche revisite, à sa manière, le mythe de Faust, tout en entraînant ses lecteurs de surprises en surprises. Le tout est écrit dans un style quelque peu décalé, drôle, amusant, voire cocasse.

Avouant un petit faible (voire même un énorme faible) pour la gente féline, je me suis régalée en lisant ce récit enlevé. Les différents protagonistes, évoluant tout au long de ce roman, sont  plein de verves ainsi que terriblement attachant.

Même Méphisto, dont on ne présente plus le fiel, la rosserie, n’arrive plus à être à la hauteur de sa réputation, et, devient sous la plume de Robert de Laroche un diable « gentil », charmant, agréable tout en prenant plaisir à parler de tout et de rien avec sa «victime ».

Enfin bref, j’ai passé un bon moment de lecture en compagnie de ce roman. C’est facile et agréable à lire, mais, je reconnais qu’il faut connaître l’histoire légendaire du Docteur Faust, racontée d’abord par Goethe puis par Berlioz et Gounod (on retrouve également le même thème dans le film La Beauté du diable avec Gérard Philipe et Michel Simon).

 Marianne

 

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©  Éditions Albin Michel, 1991

 

Véronica la vénitienne

François Pédron

Biographie romancée de la célèbre courtisane Véronica Franco.

Après un début de lecture quelque peu laborieux, un détail, un événement quelconque a fait que je suis « entrée » dans l’histoire afin de suivre avec intérêt les diverses péripéties qui ont fait de Véronica la plus plus célèbre courtisane de son temps.     

On n’apprend  rien de nouveau après la lecture de ce titre, mais, je reconnais qu’il est plaisant, et, agréable à lire. On passe également un bon moment en compagnie d’une femme exceptionnelle ainsi que tous les « grands de ce monde » - Henri III, Montaigne, la famille Vernier, et, surtout le Titien – qui l’ont côtoyé.

 Marianne

 

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©  Éditions Gallimard, 2010

(Folio classique ; 3493)

 

 

Les Mystères d’Udolphe

Ann  Radcliffe

Considéré comme un classique de la littérature gothique, ce roman d’Ann Radcliffe, (publié en 1794), au charme et au style désuet, a tout pour plaire !!!!

En effet, une fois la lecture de ce gros pavé de 902 pages commencée, il est quasiment impossible de le lâcher.

Il est vrai que la trame du roman est conventionnelle, traditionnelle, puisque l’on retrouve face à face les gentils et les méchants. Les premiers évoluant autour de l’héroïne – Emilie – jeune fille innocente, pure, mais néanmoins sympathique tandis que les seconds tournent autour d’une véritable crapule – Montoni - sans scrupules, aux desseins noirs, etc.

L’atmosphère sombre, glauque, mystérieuse, voire même le surnaturel, est parfaitement rendue grâce aux longues descriptions (paysages, lieux ainsi que des divers protagonistes évoluant dans le roman) émaillant le récit.

En effet, un savant « dosage » dans l’avancement de l’intrigue ainsi que dans la manière d’écrire d’Ann Radcliffe permet de penser que des fantômes et autres apparitions bizarres apparaissent et/où vont apparaître, mais, au dernier moment, une explication logique détruit toute explication ayant trait à la fantasmagorie, à la magie, etc.

En ce qui me concerne, j’ai adoré ce bouquin d’Ann Radcliffe, et, il est selon moi à lire et/ou à découvrir de toute urgence !!!

 Marianne

 

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©  Éditions Pocket, 2010

(pocket ; 14269)

 

 

Parce que c’était écrit …

Janine Boissard

 

Il s’agit du tout premier roman de Janine Boissard que je lis, et, je ne pense pas renouveler l’expérience concernant cet auteur.    

En effet, j’ai beaucoup de mal à entrer dans le bouquin ainsi qu’à cerner le fils conducteur de l’intrigue. Je me demande même où veut en venir l’auteur.

Dommage car j’ai entendu et lu de nombreuses critiques positives sur cet auteur.

 

 Marianne

 

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©  Éditions Actes Sud, 2011

Le Turquetto

Metin Arditti

 

En ce qui me concerne, je ne connaissais pas du tout Metin Arditti, et, je l’ai découvert en lisant ce roman. 

Le Turquetto est un véritable petit bijou tant au point de vue de la langue française que de l’intrigue. 

En effet, il se lit comme un polar tellement l’histoire est prenante, passionnante. Et pourtant, l’auteur aborde des thèmes graves tels que l’hypocrisie, l’intolérance, la jalousie, le pouvoir, les méfaits de la religion, la création artistique, etc.

L’action se déroule à Venise, au 16eme siècle, au moment au le Titien règne en maître sur les milieux artistiques, et, notamment sur la peinture vénitienne.

Au travers du portrait  d’Elie Soriano dit Le Turquetto, (obscur peintre vénitien), Metin Arditti en profite pour décrire une société vénitienne dans laquelle la religion, et  notamment la religion catholique, contrôle tout, y compris les sujets/les thèmes abordés dans les tableaux commandés aux artistes tels que le Titien, le Véronèse et/où le Turquetto. Et, gare à celui qui déroge aux règles imposées par la toute puissante Eglise romaine !!

C’est aussi un hymne à l’amitié, l’amour, le pardon ainsi qu’à la création même si les relations entre les peintres et l’Eglise sont ambigües, voire parfois houleuses. Tout comme les relations entre chrétiens et juifs. Celles ci frôlent, d’ailleurs l’antisémitisme.

Enfin bref, Le Turquetto de Metin Arditi est un roman que j’ai apprécié, et, dont je recommande vivement la lecture. Il est à lire (voire à dévorer) sans modération !!!

 Marianne

 

J’ai été embarqué dans l’histoire et n’ai pas vu passer le temps. Son découpage en courts chapitres en facilite la lecture par étapes mais l’histoire vous les fait sauter allègrement. Bref, j’ai aimé...

J@M

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©  Éditions Bragelonne, 2011

 

Assassini, tome 2 : Lame bannie

 Jon Courtenay Grimwood

Bof, bof, bof !!!

Même en parcourant rapidement ce volume,  j’ai autant de mal que le tome 1 à accrocher, et, à entrer dans l’histoire.

J’ai emprunté ce tome 2 par acquis de conscience afin de me donner une petite idée sur la suite des aventures et mésaventures du héros, vampire de son état, mais, vraiment, je n’y arrive pas, et, mon opinion n’a guère changé depuis ma lecture du premier tome c'est-à-dire sans grand intérêt, ennuyeux au possible, incompréhensible, insipide, etc.

Là maintenant, j’en suis sûre, je ne lirais pas le tome 3, si il y a un troisième volume.

Marianne

 

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©  Éditions Bragelonne, 2011

 

 

Assassini, tome 1 : Lame damnée

 Jon Courtenay Grimwood

 

Décidément les histoires de vampires ne sont pas faites pour moi !!!! 

J’avoue, également, avoir eu du mal à suivre, à comprendre l’intrigue, et, tout au long de ma lecture, je me suis demandée (en vain) où voulait en venir l’auteur tellement l’histoire est décousue, sans grand intérêt.

Les personnages manquent de caractères, certains apparaissent d’on ne sait où, et, je me suis demandée ce qu’ils faisaient au milieu de méli mélo insipide.

En ce qui me concerne, j’ai failli plusieurs fois abandonner ma lecture. En effet, ce tome 1 est fadasse, ennuyeux tout comme le style d’ailleurs !!!! Je me demande même si je vais lire la suite de cette saga imaginée par Jon Courtenay Grimwood.

Même si je reconnais que ce roman est sans intérêt, il peut intéresser les amateurs de fantastiques et autres histoires de vampires !!!!

 

Marianne

 

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©  Éditions Les Nouveaux Auteurs, 2009

 

 

Les Lames de Dieu

 Alexandra Rossi

 

Il s’agit du tout premier roman d’Alexandra Rossi, et, j’avoue avoir été bluffée par ma lecture. En effet, j’ai eu l’impression tout le temps de ma lecture qu’Alexandra Rossi était un écrivain confirmé tellement elle maîtrise à la perfection son sujet.

On sent que des recherches pointues ont été effectuées sur les croisades, la secte des Assassins, les relations entre les « infidèles » et les Chrétiens, etc. Et surtout, c’est très bien écrit. 

Les protagonistes sont sympathiques, attachants (y compris les méchants !!!), et, leurs caractères évoluent, s’affirment aux fils des pages tout en donnant le meilleur d’eux même -  y compris dans les pires situations – afin de résoudre, de contourner les embuches s’éparpillant sur leur chemin.

Le schéma, la trame de ce roman historique est classique (aventures, amour, batailles, chevalerie, nobles sentiments, etc.), mais, il y a un petit quelque chose qui fait que l’on a envie de suivre jusqu’au bout les diverses péripéties, mésaventures de Rayhan et ses compagnons.

Je reconnais également que l’époque (le XIIIème siècle), le lieu (Venise, Damas, Saint Jean d’Acre, Constantinople), le sujet (croisade) y sont beaucoup pour quelque chose tant soit peu si l’on s’intéresse aux romans historiques et/ou chevaleresques !!

Enfin bref, j’ai lu ce roman d’une seule traite, et, c’est avec beaucoup de regrets que je l’ai reposé après avoir lu la dernière ligne. J’espère, aussi, qu’Alexandra Rossi continuera à écrire d’autres romans aussi excellents que celui-ci !!

 Marianne

 

 

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