Résumé :
Ella Moreno séjourne à Venise, dans l'appartement de sa tante artiste, Valentina, qui habite un antique palazzo de la cité des Doges. Tandis qu'elle se promène à travers le dédale des ruelles et explore les multiples cafés et églises de la ville, elle trouve dans une boutique un mystérieux portrait représentant Augusta Franzi, fille d'un marchand de café du XVIIe siècle, et Luca Verzilini, un souffleur de verre. Frappée par la ressemblance entre Augusta et Valentina, Ella va découvrir des liens troublants entre le tableau et le passé de sa tante. Et le destin de la jeune femme pourrait bien en être bouleversé.
D'abord autopubliés et rapidement best-sellers au Royaume-Unis, les livres de Sophie Nicholls sont aujourd'hui traduits dans cinq langues. Après Une robe couleur de vent et Un rêve couleur de nuit, on retrouve dans ce nouvel et dernier opus l'écriture singulière et pleine de charme d'une auteure qui confirme sont talent de conteuse hors pair.
Mon avis :
Je n'ai pas vraiment accroché sur cette intrigue imaginée par Sophie Nicholls. Peut-être dû au fait que je n'ai pas lu les deux premiers tomes. Mais, j'en doute.
Je me suis mélangée les pédales entre les divers personnages, c'est-à -dire qui est qui, qui fait quoi. Ces derniers m'ont laissé froides, indifférentes. Ils sont également fades, lisses. On a l'impression qu'ils jouent un mauvais rôles au théâtre et/ou au cinéma tant ils n'ont aucune consistance.
Et quant à l'intrigue ? Parlons en !! Celle-ci est inconsistante, plate, maigre à souhait, et, surtout ne présentant aucun intérêt.
A mon humble avis (mais, ce n'est que mon avis), un roman (et, une trilogie) à éviter de lire si l'on ne veut pas perdre son temps.
